Aurier en garde à vue : Pierre Ménès affirme que ce doit être la fin de son histoire au PSG

Dans le cadre de l’arrestation ce matin très tôt, du latéral droit ivoirien du Paris Saint-Germain, par la Brigade anti-Criminalité, sur fond de violences à l’égard des policiers, le journaliste Pierre Ménès vient de réagir à ce fait divers sur twitter, en précisant que pour lui :

« Le pardon c’est grand mais la récidive c’est inacceptable. Fin de l’histoire ».

Le fait divers a été relayé par la radio Europe 1 qui dévoilait cette information durant sa matinale, et selon laquelle, le joueur parisien Serger Aurier a été arrêté lundi matin, vers 6 heures, à l’angle des rues de Berri et de Ponthieu dans le quartier des Champs-Elysées, et qu’il est en garde à vue pour insultes, outrage et violence légère à l’égard de personnes dépositaires de la force publique.

C’est clair que cette garde à vue n’arrange pas les affaires du joueur, qui vient d’être pardonné par son club suite à la triste affaire du Périscope.

Mais pour le journaliste sportif du CFC cet incident sonne la fin de l’aventure parisienne du joueur, et il n’a pas tort si l’on connaît la politique de la direction du club dans le domaine de la violence, qui ne laisse passer aucune occasion pour éradiquer toute source de violence dans et à l’extérieur des stades. Et en prônant une telle politique il est clair que sa réaction à l’égard du joueur récidiviste, sera très forte et peut même aller jusqu’au licenciement, selon ce que va donner l’information judiciaire en cours.

Toutefois, pour le moment, il faut rester prudent, car nous n’avons pas encore tous les détails de l’affaire. Mais si Aurier est bien coupable de « coups de coude » et insultes, difficile d’imaginer que les dirigeants du PSG puisse protéger un joueur dont l’image est déjà largement écornée.

Si c’était le premier écart du joueur, il faudrait une punition de toute façon, mais avec la possibilité de se racheter. Ce n’est pas le cas d’Aurier, qu’il a déjà fallu pardonner il y a 3 mois. Il n’y a pas plus qu’à espérer pour lui que les faits ne soit pas aussi négatifs qu’ils en ont l’air.

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