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Les HerbiersPSG - Sébastien Flochon Plutôt que de craindre le PSG, il faut se concentrer sur nous et ce qu'on a à faire.

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Les Herbiers/PSG – Sébastien Flochon « Plutôt que de craindre le PSG, il faut se concentrer sur nous et ce qu’on a à faire. »

Sébastien Flochon, capitaine des Herbiers (club de National), était ce lundi en conférence de presse afin d’évoquer la finale de Coupe de France contre le Paris Saint-Germain demain soir au Stade de France (coup d’envoi à 21h05, diffusion sur France 2 et Eurosport).

Quel état d’esprit ? Si on réalise ?

Le petit nuage, on en est redescendu. Même si découvrir le Stade de France est impressionnant. Maintenant on est focalisé sur la préparation de ce match.

L’arrivée à Clairefontaine ?

C’est beaucoup de bonheur, du plaisir. On a conscience de la chance qu’on a de se préparer dans ces lieux mythiques. On veut profiter.

Le Stade de France ? 

C’est un beau stade, c’est grand. Déjà à la Beaujoire, c’était une sacrée ambiance.

Ce qu’on craint le plus ?

Il ne faut pas trop y réfléchir. C’est du très haut dans tous les domaines. Plutôt que de craindre le PSG, il faut se concentrer sur nous et ce qu’on a à faire.

Un piège à jouer le PSG en finale ?

Non, je sais pas. Tout le monde aimerait être à notre place. C’est une chance plutôt qu’un piège. Il faut aborder le match le plus naturellement possible, même si c’est un événement exceptionnel. Il faut faire abstraction.

Nos métiers dans l’équipe ? 

En fait monsieur, en National les joueurs ont un statut amateur, mais les joueurs n’ont pas de métier à côté, il n’y a que cela, c’est notre travail. (Pardon) Pas de soucis.

« On est des compétiteurs, il y a toujours de l’espoir. »

Si on y croit ?

Et vous ? (Oui) Alors nous aussi.

Du baratin que l’on n’a pas d’espoir ?

Les gens nous demandent d’évaluer nos pourcentages de chances de gagner. On est des compétiteurs, il y a toujours de l’espoir.

Quel sentiment au Stade de France ?

Cela me fait penser à France 98, c’est la victoire 3-0 contre le Brésil. On y a été en tant que spectateur. Fouler la pelouse c’est autre chose.

Une anecdote ?

Non, on s’est entraîné et il faisait beau. On a eu une mise au vert classique dans un endroit particulier. On a eu une chanson de notre staff médical dans le restaurant de l’Equipe de France.

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