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Lizarazu "Blanc a une responsabilitén mais pas la seule"

Autour du PSG

Lizarazu « Blanc a une responsabilitén mais pas la seule »

Après que le Paris Saint-Germain s’est remis de sont quart de finale de Ligue des Champions raté en écrant Caen 6-0 ce samedi (34e journée de Ligue 1), la défaite contre Manchester City a encore alimenté les débats. C’était le cas dimanche sur le plateau de Téléfoot.

Le match aller était très décevant, avec plein d’opportunités non concrétisées par l’attaque parisienne. Cependant c’était un match plein d’espoir, laissant les Parisiens toujours favoris pour passer et aller en demi-finale. Mais le match retour en a étonné plus d’un notamment certains choix effectués par l’entraîneur parisien, Laurent Blanc. C’est d’ailleurs sur ces derniers que Bixente Lizarazu s’est exprimé.

« Les entraîneurs sont toujours attaqués après une élimination. Deux choix m’ont interpellé. Aurier à l’aller, alors qu’il l’a trahi et que Marquinhos est un bon soldat, et ce 3-5-2 au retour. Ils ont passé leur temps à essayer de corriger les problèmes plutôt que de jouer… Blanc a une responsabilitén mais pas la seule.

Ibra, Di Maria, Cavani, Lucas qui passent au travers en même temps, ce n’est pas normal. Recruter ? Il faut trouver des cadors, il faut du très bon qui arrive. Et n’est pas simple… »

Les entraîneurs sont toujours attaqués en cas de déception, certes. Et quelques choix de Laurent Blanc sont difficilement compréhensibles, comme la décision de changer de système au retour, même si l’aller n’était pas terrible. De même avec les titularisations d’Aurier, qui rejouait pour la première fois en presque 2 mois.

Mais il faut aussi se rappeler qu’il n’est pas responsable des ratés techniques d’Ibrahimovic, Di Maria, Cavani, David Luiz et autres, qui doivent aussi assumer. D’ailleurs, la titularisation de l’arrière droit parisien aurait été normale sans ses propos sur Périscope, qui ont finalement peut-être fait plus de dégâts sur ces quarts de finale que contre Chelsea en 8e de finale. Mais Blanc aurait aussi pu encore mettre Marquinhos.

C’est un tout, comme on dit souvent (mais le dicton est oublié au moment des critiques), dans une équipe « on perd ensemble, on gagne ensemble ».

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