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Blanc est encore critiqué par Riolo

Autour du PSG

PSG – Riolo « Blanc, on sait bien qu’il n’ose pas. Il ne fait rien, il assiste »

         Le Paris Saint-Germain a repris la tête de la Ligue 1 grâce à sa victoire, hier, sur la pelouse de Nantes (0-2). Malgré la victoire, Daniel Riolo s’en est pris encore une fois à Laurent Blanc, via son compte Twitter. Le journaliste de RMC critique le choix du coach qui a décidé de remplacer Javier Pastore par Ezequiel Lavezzi.

« En sortant Pastore dit à Blanc : pourquoi moi ? Bah Parce que j’ose pas sortir Ibra, c’est lui le chef ». Interpelé par Florian Gazan « Daniel Riolo parce que Pastore est sous la menace d’un carton qui le suspendrait à Montpellier. Et comme déjà ni Motta ni Verratti n’y seront. » Le journaliste de RMC en a alors rajouté une couche  « Il aurait dû penser à gérer Verratti/Motta plutôt… On sait bien qu’il n’ose pas. Il ne fait rien, il assiste. »

   Daniel Riolo est un habitué des critiques envers le PSG et son entraîneur Laurent Blanc. En ce qui concerne la gestion des remplaçants, Laurent Blanc fait ses choix. Il n’est pas un « assisté » comme le dit Riolo. Zlatan Ibrahimovic revient de suspension et il ne reste que quatre matchs (en comptant la Coupe de France). Le Suédois était en jambe et il n’y avait pas de raison de le remplacer. En ce qui concerne Javier Pastore, il a beaucoup joué ces dernières semaines et a été très performant.

   Hier, il n’était pas à son avantage et il était sous la menace d’un carton jaune qui l’aurait privée du match contre Montpellier. Ce choix n’est donc pas si farfelu que ça. Contre Montpellier le PSG sera déjà privé de Thiago Motta et Marco Verratti. Ce dernier a pris un carton assez sévère et manquera donc ce match. Avec cette problématique Blanc n’avait pas d’autre choix que de préserver Javier Pastore. Les critiques envers le coach du PSG ne sont pas ici fondées et Daniel Riolo essaye de se raccrocher à tout ce qu’il peut quand il s’agit de critiquer le PSG.

   On peut juste questionner le fait d’avoir sorti Verratti et non Motta, alors que ce dernier n’avait pas encore de jaune, mais peut-être Blanc craignait aussi que le jeune italien prenne un rouge bêtement tout en comptant sur l’expérience de Motta pour ne pas être averti. Mais avec un arbitrage aussi sévère, 6 fautes pour 3 cartons jaunes, c’était difficile à éviter.

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