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Schneider "Rabiot ? Cela n'a rien avoir avec le sport...Il y a quelque chose de malsain derrière"

Autour du PSG

Schneider « Rabiot ? Cela n’a rien avoir avec le sport…Il y a quelque chose de malsain derrière »

L’idylle entre Adrien Rabiot, milieu de 23 ans, et son club formateur du Paris Saint-Germain a, semble-t-il, pris fin de manière peu glorieuse. Le joueur, par le biais de sa mère et agent, ayant confirmé qu’il ne paraphera pas un nouveau bail (retrouvez ici la réponse du directeur sportif Antero Henrique). Dès lors, et tant que le joueur n’aura pas infléchi sa positon, il ne portera plus la tunique parisienne en match. Une décision du club qui fait réagir bon nombre d’observateurs, à l’image de Grégory Schneider qui s’exprime dans L’Equipe du soir. Le journaliste de Libération s’insurge contre les méthodes employées par le board rouge et bleu

« On sait très bien que s’il se retrouve avec zéro minute de jeu, cela n’a rien à voir avec le sport. C’est un calcul financier par rapport au fait qu’il ne fasse pas son transfert. Et c’est contrevenir quoi qu’on en pense au droit du travail. Si on empêche quelqu’un de travailler, il a le droit d’attaquer. Les footballeurs sont des travailleurs comme les autres. Il y a quand même quelque chose de malsain derrière. Et puis imaginez, Verratti se blesse, ils le rappellent pour jouer contre Manchester United, ils perdraient la face dans des proportions extraordinaires ! »

Le PSG est dans son bon droit.

C’est assez risible de voir ce genre de sortie depuis quelques jours venant de différents observateurs qui se montrent outrés par l’attitude du méchant PSG. Adrien Rabiot ne souhaite pas prolonger son contrat ? Il ne s’inscrit donc plus dans le projet et c’est totalement légitime qu’il soit écarté du groupe francilien. Le droit du travail dont par M. Schneider n’est absolument pas bafoué par le club de la capitale puisque Rabiot pourra toujours s’entraîner normalement avec Paris pour rester en forme et si la situation lui déplaît tant que cela, il a également le droit de plier bagages dès le mois de janvier.

Ce qui est assez drôle aussi c’est qu’on entend beaucoup moins M. Schneider quand d’autres clubs usent de tels procédés ou quand cela touche d’autres joueurs de Paris : les différents lofts mis en place par diverses écuries, les cas, également au PSG, de Jesé ou Lassana Diarra… Une intervention qui aurait mérité, une nouvelle fois, de ne pas franchir les lèvres de M. Schneider qui ne semble pas vraiment à l’aise avec la chose footballistique. Il aurait peut-être mieux d’attendre la dernière explication du coach Thomas Tuchel.

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3 Comments

  1. Nerofilou

    22 décembre 2018 at 01:49

    Des fouillesmerde, narvalhos! Schneider, il ne sait pas de quoi il parle, ce gland. Faudrait leur tanner le cuir a ces tantouzes de l’ Equipe du soir et la sauterelle à domenech.

  2. Jean-Jacques Mora

    21 décembre 2018 at 23:50

    En plus, cet imbécile parle de transfert au lieu de prolongation de contrat ! Vous pouvez aussi ajouter Ben Arfa dans votre liste de joueurs écartés.

  3. Verratti10

    21 décembre 2018 at 19:51

    Sauf que le droit du travail ne régit pas la compo d’une equipe pro. Donc on peut le laisser devant sa ps4 tous les we si ça nous chante du moment qu’on le laisse faire des footing au camp des loges.

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