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Un Paris-Saint-Germain version qatari qui prend souvent le large, mais autant que les tops européens

Autour du PSG

Un Paris-Saint-Germain version qatari qui prend souvent le large, mais pas autant que les tops européens

La nouvelle victoire écrasante, voire insolente, du Paris Saint-Germain samedi dernier (5-0, 13e journée de Ligue 1), contre la faible équipe de Toulouse, prouve encore une fois que l’armada parisienne version QSI sait, lorsqu’elle le désire, punir ses adversaires et asseoir sa domination.

C’est en tous cas ce que nous rappelle Le Parisien, statistiques à l’appui.

En effet, depuis l’arrivée des investisseurs qataris lors de la saison 2011-2012, l’effectif rouge et bleu a infligé 22 défaites par plus de quatre buts d’écart à leurs adversaires, toutes compétitions confondues.

C’est la saison 2013-2014 qui s’est révélée la plus prolifique en la matière (8 victoires).

La question est désormais  de savoir qu’elles sont les victimes préférées du Paris-Sans-Merci.

En la matière, la palme d’or peut être sans aucun doute décernée à l’équipe bastiaise (3 victoires par plus de quatre buts d’écart dont la dernière en finale de la Coupe de la Ligue en avril dernier).

Viennent ensuite la dernière victime de date Toulouse (ou too loose pour les plus provocateurs d’entre nous) ainsi que l’équipe de Sochaux.

Il est également  intéressant de souligner que les Parisiens préfèrent néanmoins dévorer leurs proies non loin de leur Parc (14 des 22 victoires évoquées en début d’article réalisées à domicile).

Cependant, les hommes de Laurent Blanc n’ont pas encore l’étoffe d’un véritable ogre.

En effet, si Paris sait sévèrement corriger certains de ses adversaires, il n’entre tout de même pas encore dans le panthéon des bourreaux du ballon rond.

Dans ce domaine, ce sont les trois monstres européens (Barcelone, Madrid et le Bayern de Munich), régulièrement habitués a atteindre le dernier carré de la lLigue des Champions, qui trônent les premières places, avec respectivement, 55, 52 et 50 (sans oublier que le championnat allemand a 18 équipes et non 20) matchs avec au moins quatre buts d’écart depuis la saison 2011-2012.

Reste désormais à la formation parisienne de troquer son martinet de père fouettard pour une cravache de type « catalane ».

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