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Blanc explique sa composition face à Wasquehal et s'étonne des questions autour de Sirigu

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Blanc explique sa composition face à Wasquehal et s’étonne des questions autour de Sirigu

Hier, face à Wasquehal en 32e de Coupe de France, le Paris Saint-Germain a joué avec une équipe très remaniée. Par exemple, Thiago Motta était en défense centrale et Adrien Rabiot plutôt ailier droit. Des choix que Laurent Blanc, le coach parisien, a expliqué auprès d’Eurosport.

« On a une deuxième partie de saison importante donc il faut pouvoir travailler physiquement et augmentez les charges de travail afin d’être ambitieux dans nos objectifs et surtout pouvoir les relever. On avait procédé la saison dernière de cette manière à Marrakech où l’on avait fait un stage assez intense au niveau de la charge de travail. On veut faire la même chose cette année et faire la même préparation. On a travaillé beaucoup lors du stage à Doha et comme vous le savez les Sud-Américains nous ont rejoints un peu plus tardivement.

Ils sont donc restés à Paris pour faire cette charge de travail et essayer de reprendre dans une dizaine jours en ayant tous ingurgité le travail que l’on veut faire. Donc cela a donné l’équipe qui a été alignée face à Wasquehal, car les Suds-Américains étaient restés à Paris. On avait aligné une certaine équipe contre l’Inter de Milan et elle m’avait donné satisfaction. Je ne voyais pas pourquoi je ne pouvais pas la remettre contre cette équipe de Wasquehal en 32e de finale de la Coupe de France. » propos rapportés par ParisTeam.

La composition du PSG a beaucoup fait parler hier sur les réseaux sociaux et les critiques ne se sont pas faites attendre, notamment parce que Marquinhos était sur le banc. Pourtant, il n’y a pas eu grand chose de surprenant. Ce n’est pas une grande nouvelle que les sud-américains sont revenus plus tard de vacances et n’étaient pas tous prêts à jouer.

Déjà lors du match amical contre l’Inter de Milan, seuls Marquinhos, Lucas et Scherrer Maxwell sont rentrés en jeu. Le premier seulement à cause de la blessure de Van der Wiel, le second était certainement mieux préparé et permis à Ibrahimovic de se reposer et le dernier n’avait joué que 15 minutes.

En partant du fait qu’aucun sud-américain du PSG n’était prêt à commencer ce match et que Blanc veut éviter les blessures, sans oublier l’absence de Van der Wiel, il était difficile de faire une autre que celle d’hier. Peut-être Stambouli aurait-il pu jouer en défense et Motta au milieu, mais il faut garder à l’esprit que l’Italien a loupé quelques entraînements et le match amical le 30 décembre. L’objectif était donc certainement de lui éviter les courses à répétitions et les chocs.

Enfin, Blanc a évoqué le « cas » Sirigu, dont il ne comprend pas le couverture médiatique.

« Je ne vois pas pourquoi on me pose cette question. Tout est clair comme l’année dernière et il y a deux ans, c’est le deuxième gardien qui joue les coupes. C’est clair, net et précis. C’est pour cela que je ne comprends pas cette interrogation. Il n’y a aucune surprise que ce soit Salvatore dans les buts puisque comme je l’ai dit en début de saison aux joueurs le gardien n°2 jouera les coups comme cela était le cas l’année dernière avec Nicolas Douchez. »

Si Sirigu est au centre des attentions c’est parce qu’il était avant le numéro 1 et que l’on sait qu’il veut participer à l’Euro 2016. Sa situation est donc loin d’être optimale. Il est alors normal de se demander s’il va partir, surtout que la porte semble ouverte. Et l’avenir de Sirigu est lié à celui de Douchez, qui n’a plus joué en match officiel depuis la saison dernière. Mais, pour hier, il est vrai qu’il n’y avait rien de surprenant à voir Sirigu dans le but.

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