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Weah « Je reçois beaucoup de conseils de mon père, mais ce que je montre sur le terrain est le résultat de mon travail »

par
Thomas
le 31 juillet 2018 à 15:45

La famille Weah est bien connue au Paris Saint-Germain. Il y a eu le père George 1992 à 1995, et maintenant Timothy y est professionnel. L’attaquant parisien de 18 ans est prometteur, mais il a du mal à faire oublier l’importance de son père (Ballon d’Or 1995) dans le football. Il a été interrogé sur ce « poids » par La Gazzetta dello Sport.

» Mon nom de famille est sur mon dos et je ne le vois pas quand je joue, seuls les fans peuvent le faire. Donc, il n’y a pas de pression pour moi, je pense juste à jouer comme je peux. Oui, c’est vrai, je regarde les vidéos des buts de papa et je reçois beaucoup de conseils de lui, mais ce que je montre sur le terrain est le résultat de mon travail.

Comment c’est de côtoyé les Cavani, Neymar ou Mbappé ?

Je regarde constamment ces joueurs, j’essaie de tirer des leçons pour devenir plus sûr et plus fort. »

Weah veut devenir grand.

Weah le sait, le fait d’être le fils d’une ancienne légende ne garantit pas que son avenir sera doré pour autant. Il doit aussi travailler pour que son talent s’exprime au mieux et réussir une belle carrière. Petit à petit, il doit réussir à se détacher un peu de l’image de son père, même s’il y sera toujours un peu associé.

Le Titi parisien a la chance de travailler au quotidien avec de grands joueurs, ce qui doit lui permettre de progresser. Il est aussi dans de bonnes conditions lorsqu’il joue, puisqu’il est entouré de joueurs de haut niveau. D’ailleurs, ses premières sorties professionnelles sont encourageantes. De quoi probablement gagner le droit de jouer un peu en équipe première cette saison.

Maintenant, il faut rester patient et travailleur, car il est encore jeune. Weah a beaucoup à apprendre et il peut utiliser le contact avec les attaquants du PSG pour cela, tout comme les conseils de son père. Sans oublier le coach Thomas Tuche. C’est l’attaquant de se faire une place petit à petit. Sans oublier pour autant qu’il ne peut pas déjà être un titulaire régulier à Paris.

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