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Kombouaré pas sûr de rester!

Pour cette rentrée des classes, comme à l’école, PSGteam donne ses appréciations aux acteurs du PSG après sept rencontres depuis le début de la saison ( 4 en championnat, 2 en coupe d’Europe et un trophée des Champions).

Kombouaré au banc: élève médiocre et brouillon.
Comme beaucoup dans le milieu du foot, notre « coach de papier » manque de courage à l’heure des remises en questions. Peut-être est-il trop attiré par l’argent pour agir avec autorité. Si le jeune Antoine était certain de ses grandes compétences, il devrait prendre exemple sur l’élève Gonzalez. Gonzalez (entraîneur du rugby Biarritz-Olympic) a choisi de démissionner après avoir perdu. Bien lui a pris. En effet, le président Serge Blanco, dans l’étonnement de tous, a déchiré la lettre pour maintenir en place son entraineur. Par ce geste fort et osé, Gonzalez reprend la main sur son groupe. Sans coup de gueule, ni punition il s’est attiré, grâce à cette remise en question, le respect de tout un club.

Le professeur de tactique se demande également ce que le garçon cherche en organisant (ou désorganisant) un bloc équipe pour le rendre extrêmement friable? Le plus flagrant, ceux de droites passe à gauche, puis reviennent à droite en seconde mi-temps. Peut-être Antoine souhait-il un nouveau joujou (Tiéné ou Bisevac) ?
Pour rassurer les parents, nous noterons tout fois une prise d’initiative lors du de la démonstration sochalienne. Clément a pris la place de de Makelele et non pas l’habituel place de Bodmer.

Élève Sessegnon…Non appliqué, manque de concentration.
Que dire de du jeune Sessegnon? À gauche: il boude. Au centre; il est absent et enfin sur l’aile droite, il néglige ses placements offensifs et défensifs. À l’image de son grand frère Okocha, c’est un élève rêveur, parfois capable du meilleurs, mais si jamais vous clignez des yeux, vous n’aurez plus que le médiocre.
Bilan: aucun engagement physique, des placements aléatoires et un mauvais choix quasi systématique dans le dernier geste.

Ses camarades de récréation prétendent qu’il veut filer en Angleterre. Surement souhait-il suivre l’exemple de son camarade Ben Arfa – conscient de ses capacités, le Marseillais a décidé de tenter sa chance dans un club de catégorie bien inférieur: Newcastles. Un club du niveau du Stade Caennais qui lui aussi a son Ben Arfa en la personne d’ El Arabi. Bien sûr, une école anglaise présente toujours mieux qu’une française et à nous les petites Anglaises!

Comment pourrait-on en vouloir à Sessegnon, s’il estime qu’il n’a pas le niveau pour jouer au PSG? Rejoindre un club tel que Bolton signifie, pour tout observateur averti de la Premier League, réintégrer un club du calibre du Mans. Décision courageuse. À ce sujet, il serait heureux d’entendre l’avis du principal intéressé.

Robin Leproux: élève naïf. Semble être dépassé.
Lorsque les décisions sont fortes, elles ne font jamais l’unanimité. Quoi qu’il en soit ses décisions, en terme de sécurité, sont imitées en Italie par Cagliari et l’Inter entre autre. Ce qui est dommage, c’est qu’au PSG les extra-sportif semblent être mis en avant pour masquer des résultats sportifs désastreux.

Côté transferts ou financier les supporteurs attendent plus d’honnêteté. Si aujourd’hui chacun est conscient qu’on ne puisse pas évoquer les probables arrivants, une explication sur les transferts avortés peut être détaillée. Pourquoi Armand Traoré, transférable et arrière gauche d’Arsenal qui manifesta plusieurs fois son amour pour la capitale, n’a jamais été écouté? Si Arsenal conditionne sa venu à la celle de Sakho, les supporteurs le comprendront facilement. Si au contraire, aucune approche n’a été faite…

Les hommes forts se révèlent dans les moments difficiles…ont est dans le creux de la vague. Espérons que les bon discours seront suivis d’actions.

Reste de la classe: se laisse porter par la vague.

Les 11 joueurs sur le terrain se laissent porter par une nonchalance collective. En comparaison, les rugbymen du Métro-Racing, vainqueurs ce week-end face et à Toulon, étaient tous et tout heureux de leurs victoires. Ils étaient également contents comme des gosses lorsque leur président cria dans les vestiaires « lachage de maillots! ». Un des joueurs explique: « lorsqu’on gagne un gros match, le président nous laisse garder nos maillots, c’est notre prime à la victoire ». Ce n’est pas un décalage avec les mentalités du football, c’est un gouffre. D’un côté la prime pour un nul est à 3000 euros et de l’autre la victoire est…à un maillot trempé de sueur et parfois de sang. L’expression « jouer pour le maillot » n’aura jamais été autant pris au pied de la lettre.

Hier soir, comme pour les autres sorties, les joueurs du PSG n’ont pas fait preuve de motivations ostentatoire. Les supporteurs du club auraient apprécié voir une saine agressivité face à Sochaux, comme les supporteurs eux-même la manifestèrent devant leurs écrans. Voir sur les terrains onze joueurs aussi jusque boutiste que lors des négociations de primes de match. Mais peut-on vraiment trouver des professionnels au PSG qui jouent pour le maillot lorsque la presse espagnole rapportait que l’agent de Makelele réclamait à la présidence du Real de lui offrir jusqu’à la gazinière pour réinstaller son habitat.

Avis générals:
Pour conclure, chaque membre du PSG devrait avoir à l’esprit ce qui fait la beauté du football. Il n’y a aucune vérité: rien est jamais gagné ou perdu à l’avance. Si en natation ou en athlétisme aucune surprise n’est possible (les coureurs confirment dans l’eau ou sur la piste uniquement leurs temps d’engagement), la compétition en football est tout autre. Il suffit de voir la victoire de l’Atletico sur l’Inter pour s’en convaincre. Et pour les sceptiques, outre le fait des mémoires de coupes de Frances, Christophe Lemaitre le confirme les fait. Malgré son record de France sur 100m en 9″97, il ne termina que 4ème de la finale (correspondant en tout point au temps d’engagement d’avant course).

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