Autour du PSG

Guedes « Emery m’a dit que Valence est un grand club…Ce qui se passera dans 1 an, on verra »

par
NicolasB
le 7 septembre 2017 à 17:10

L’hiver dernier, le Paris Saint-Germain a recruté Gonçalo Guedes à Benfica. Mais l’attaquant de 20 ans n’a pas su convaincre qu’il pouvait déjà être un grand apport dans l’effectif parisien. C’est pourquoi il a finalement été prêté à Valence pour la saison 2017-2018. Le Portugais était en conférence de presse ce jeudi et a expliqué son choix ainsi que son ambition. Il confie notamment que le coach parisien Unai Emery, ancien entraîneur de Valence, l’a conforté dans sa décision.

« J’ai vécu cette attente naturellement, le coach de Paris m’avait dit d’attendre. Je voulais venir ici, je suis très content d’être venu. Emery m’a dit que c’est un grand club, que ce pouvait être très bien pour moi, que j’ai pris une bonne décision. J’ai pu m’en rendre compte, ça peut être bien pour moi.

Ici, il y a des objectifs clairs, des idées claires, nous travaillons pour être prêts pour les matches. L’accueil du public a été très bon. Le coach m’a dit que je devais travailler dur parce qu’il n’est pas facile de jouer à Valence, je dois donner mon maximum pour jouer. Je suis venu pour essayer de jouer un maximum, aider le club, m’améliorer individuellement et collectivement. Ce qui se passera dans un an, on verra. », propos relayés par Foot Mercato.

Un prêt de Guedes était nécessaire, il faut maintenant bien l’utiliser.

Face à la concurrence dans l’attaque parisienne, il aurait été presque impossible pour Guedes d’obtenir du temps de jeu à Paris. Il fallait absolument trouver un prêt et Valence est une belle option. Il s’agit d’un très bon club espagnol habitué à la Liga. C’est une expérience dans un beau championnat qui peut lui servir. L’attaquant de 20 ans doit maintenant faire au mieux pour avoir un temps de jeu régulier et progresser durant cette aventure.

Un bilan sera fait en fin de saison pour voir s’il a maintenant de la place au PSG, si un prêt supplémentaire est nécessaire, ou si on oublie l’espoir de voir Guedes devenir un élément intéressant dans la capitale.

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