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OL/PSG - Garcia préfère tenir que Lyon a "mis à mal" le PSG pendant une heure

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OL/PSG – Garcia préfère tenir que Lyon a « mis à mal » le PSG pendant une heure

Rudi Garcia, entraîneur de l’Olympique Lyonnais, est revenu en conférence de presse sur la défaite 1-5 contre le Paris Saint-Germain mercredi dernier au Groupama Stadium en demi-finale de la Coupe de France. Il préfère ne pas trop évoquer l’arbitrage et de concentre sur le positif.

« Pendant une heure, on a mis à mal cette équipe. Je préfère ne rien dire sur le penalty. Quand on est à dix contre onze face à une telle équipe, il n’y a plus de match. Cela nous servira pour le 4 avril (date de la finale de la Coupe de la Ligue contre le PSG), c’est ça qui m’importe le plus. Mon équipe a été très bonne sur le plan tactique, technique. En infériorité numérique, cela a été très dur. À onze contre onze, on a montré qu’on pouvait se qualifier. Ils n’avaient pas besoin de ça pour gagner le match. », propos de Garcia relayés par L’Equipe.

Garcia fait bien d’insister sur ce que son équipe a réussi et de ne pas trop s’attarder sur l’arbitrage. Non seulement parce que les décisions de l’arbitre ne sont pas particulièrement contestables, il ne faut pas oublier qu’il n’est pas responsable du règlement et des erreurs des joueurs. Mais aussi parce que Lyon a en effet bien gêné le PSG pendant 60 minutes. Il était loin d’être certain que Paris trouverait la solution. Même s’il faut avoir à l’esprit que les Parisiens n’étaient pas au mieux, l’OL peut retenir sa belle opposition plutôt que le score. Même si le rouge et l’explosion lyonnaise, liée aussi à la fatigue, font aussi partie du match.

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2 Comments

  1. Naceur Amraoui

    6 mars 2020 at 11:45

    Il faut retenir que l’ol a mené un zéro à la onzième minute. Il est pathétique. On aurait dû arrêter le match à la 60 ème minute. Quelle débilité.

    • Robert Toutoute

      6 mars 2020 at 16:02

      J’invite cet entraîneur à regarder  » attentivement  » toute la deuxième mi-temps, avant le pénalty, depuis retour des vestiaires. Après c’est sûr que ses joueurs n’avaient pas abdiqués même menés, d’où les  » situations  » en leurs faveurs. Et surtout les risques qu’ils ont pris, après ce qui devait arriver arriva avec la qualité offensive du PSG.

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