Mercato - Pastore des offres "d'une équipe chinoise, une anglaise et une italienne", selon ESPN

Club

Pastore « Je pense qu’avec Emery, on fera mieux qu’avant »

par
Mao HASHIMOTO
le 1 septembre 2016 à 19:40

Javier Pastore, le milieu de terrain de 27 ans du Paris Saint-Germain, évoque la saison 2016-2017 avec le nouvel entraîneur Unai Emery et la nouvelle philosophie de jeu qu’il apporte lors d’une interview accordée à Canal+.

Cela fait 2 mois qu’Unai Emery est arrivé à Paris en provenance du FC Séville et El Flaco évoque les changements pour le coach et l’équipe.

« A Séville, la première chose qu’il demandait c’était de bien défendre, progresser et faire les contre-attaques. Mais, chez nous, il a trouvé une équipe qui joue bien au ballon. Je pense qu’avec lui, offensivement, on fera mieux qu’avant. Il a une grande envie. Et puis, à l’entrainement, ça nous change. Il fait tout. Les travaux avec les joueurs, il court et il parle. »

Le coach espagnol est plutôt dynamique et cela se voit en conférence de presse et sur les images de l’entraînement. Comme l’international argentine explique, c’est déjà une grande différence avec Blanc, qui est plutôt calme et en retrait. Le tout avec un jeu plus intense et direct. On espère que cette formule permettra aux Parisiens d’être plus forts et passer un cap en Ligue des Champions.

Pastore évoque ensuite le départ de Zlatan Ibrahimovic, qui change forcément le collectif parisien.

« Avec Zlatan, on jouait parfois très bien ensemble. Mais, on aime plus ou moins le même football. Avec Emery, on a changé de système. On aime jouer directement, et on a besoin d’un attaquant qui peut prendre la profondeur plus que de quelqu’un qui décroche. C’est pour ça qu’il est possible que je prenne plus de place en milieu. »

Après avoir porté le numéro 27 depuis son arrivée au club de la capitale en 2011, Pastore a pris le numéro 10 cette saison et succède donc à Ibrahimovic. Cela doit le motiver à être encore plus fort. Surtout, on s’attend à le voir encore plus dans les matchs et être régulièrement décisif. Il n’a plus à laisser de la place au géant suédois et doit être le chef d’orchestre. Il faudra pour cela qu’il arrive à soigner ses mollets qui lui ont encore fait louper un match dimanche dernier (contre Monaco, 3e journée de Ligue 1)..

Publicités