Mercato – Neymar et le PSG ont un accord pour un départ l’été prochain, RAC 1 continue la folie

Après quelques semaines de tranquillité, les médias espagnols reviennent en force avec la rumeur d’un départ de Neymar du Paris Saint-Germain. Mais cette fois il s’agit plus d’un retour au FC Barcelone que d’un transfert au Real Madrid. Après les « informations » de Mundo Deportivo hier, la radio Cadena SER va jusqu’à assurer que l’attaquant de 26 ans a un accord avec Paris pour partir.

En effet, la radio ibérique assure que Neymar et le PSG ont décidé qu’il pourrait partir où il veut à l’été 2019 si un club fait une offre de 220 millions d’euros (la somme dépensée par Paris en 2017). Et il s’agirait de 200 millions si le Brésilien attend l’été 2020. Le joueur penserait plutôt au Real Madrid ou au FC Barcelone, même s’il préfère le Barça.

Lequel, selon RAC 1, envisage finalement le retour de Neymar. Il y a peu, on voyait plutôt en Espagne que le club catalan considérait que le Brésilien n’était plus utile à l’équipe et qu’il ne voudrait pas le revoir. Sauf que Barcelone vient de faire 4 matchs sans victoire en Liga. Et la trêve internationale est longue. Alors il est affirmé que le président Josep Maria Bartomeu a demandé aux cadres de son vestiaire ce qu’ils pensent d’un retour de Neymar.

Comme souvent dans ce dossier, il n’y a rien de particulièrement crédible.

Il fallait bien que les médias espagnols s’occupent et fassent rêver attendant la suite de la compétition. On leur concède que rien n’est tout à fait impossible. Mais le tout est hautement peu crédible. Il n’y a pas la moindre preuve. Neymar est même très loin de montrer une envie de départ.

Il est pleinement impliqué dans les matchs du PSG et n’affiche que des sourires. On l’a même vu très heureux lors du dernier match au Parc des Princes (5-0 face à l’Olympique Lyonnais, 9e journée de Ligue 1) au moment de célébrer avec le Collectif Ultras Paris. Mais les médias ibériques ont du mal à accepter qu’un joueur puisse se sentir bien autre part que chez l’un de leurs mastodontes.

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