Le fait que l’entraîneur du Paris Saint-Germain, Unai Emery, bouge beaucoup durant le match, est une grande différence au coach précédent, Laurent Blanc. Guy Lacombe, ancien technicien du PSG de 2005 à 2007, évoque l’hyperactivité du Basque dans Le Parisien.
« Cela me permettait d’évacuer le stress, d’être dans l’action comme mes joueurs. Un entraîneur, c’est un formateur. Quand quelque chose ne se passe pas bien, on s’en veut car cela signifie qu’on n’a pas réussi à faire comprendre les consignes. Emery profite donc d’une erreur pour répéter aux autres ce qui aurait dû être fait. Sincèrement, la plupart du temps, ils n’entendent pas ce qu’on leur dit. On le fait surtout pour nous, pour avoir l’impression d’avoir une petite emprise sur le cours d’un match. Contrairement au hand ou au basket, on ne peut pas vraiment intervenir, si ce n’est à la pause ou par les changements. Il faut laisser les clés aux joueurs. Et pour un coach, c’est souvent frustrant. »
Emery s’assoit rarement sur le banc et dirige l’équipe tout le temps comme un chef d’orchestre. D’ailleurs, son enthousiasme se voit généralement à l’entraînement et en conférence de presse aussi. Cela peut déranger un peu les joueurs ou les booster, le tout c’est que tout le monde s’adapte et que la bonne formule soit trouvée.
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