Revue de presse : Neymar de retour, l’essentiel Verratti, effectif limité et Donnarumma sans alibi

Dans cette revue de presse, on parle du retour de Neymar et celui de Verratti. Deux joueurs essentiels pour le PSG. Ces deux absences ont montré que le PSG était très limité en terme de profondeur de banc de touche et cela pourrait être un problème. Enfin, Donnarumma est dans le viseur, après le départ de Keylor Navas, il ne peut plus se cacher derrière la pression invisible de son ancien partenaire.

Donnarumma peine à retrouver son niveau de l’Euro. Encore marqué par son erreur contre le Real Madrid, il le paye chaque weekend. Plus personne n’a confiance. Il est dans la tourmente, alors qu’il est un grand gardien. Il doit gommer ses défauts et retrouver de l’envergure. Il est attendu au tournant alors que la LDC approche.

Retour de Verratti, peut-être celui de Neymar, voilà deux nouvelles qui peuvent tout changer ou presque. Verratti est essentiel au PSG, qu’on le veuille ou non. Les dirigeants n’arrivent pas à trouver un joueur de son niveau et ses absences font mal. Ce n’est pas une excuse mais un constat d’échec sur les mercatos parisiens.

Pour Neymar, le retour semble proche et loin à la fois. Est-ce que Galtier prendra le risque de le faire jouer 48 h après son retour avec le groupe et 7 jours avant le Bayern Munich (tout en sachant qu’il y a le déplacement à Monaco entre les deux) ? Ce n’est pas certain, pourtant son apport pourrait être essentiel.

Ce n’est pas une nouveauté. Verratti, c’est le patron. Il donne du temps à ses équipiers, il les sublime et permet de monter le bloc. Les attaquants ont confiance en lui et redescendent moins chercher les ballons. Son entente avec la MNM est parfaite, il les comprend. Son retour n’est pas qu’attendu, il est essentiel pour la fin de la saison.

C’est un vrai problème. Quand le remplaçant de Mbappé se nomme Ekitike, quand le remplaçant de Neymar se nomme Soler et que le remplaçant de Verratti se nomme, Ruiz, ou Vitinha, alors oui, la comparaison est difficile. Il faut que les dirigeants se mettent en quête de doublures qui permettent à l’équipe de jouer sensiblement de la même façon avec les « deux effectifs ».