Thiago Motta et Di Maria sont suspendus pour 2 matchs ferme, plus 1 avec sursis pour l’Argentin

Ce jeudi soir, la Commission de discipline de la LFP devait notamment juger les cas de 2 joueurs du Paris Saint-Germain. Thiago Motta (milieu de 34 ans) et Angel Di Maria (ailier de 29 ans) ont tous les deux été expulsés dimanche soir lors de la défaite à Nice (3-1, 35e journée de Ligue 1). Les 2 joueurs ont été sanctionnés de 2 matchs ferme de suspension, mais Di Maria en a 1 en plus en surpris, comme l’a relayé Le Parisien.

« Réunie ce jeudi soir à Paris, la commission de discipline de la Ligue de football professionnel (LFP) a infligé deux matchs ferme de suspension à Thiago Motta et deux matchs ferme plus un avec sursis à Angel Di Maria. Les deux joueurs du PSG ont été exclus dimanche dernier à Nice, en clôture de la 35e journée de Ligue 1 (défaite 3-1 du PSG).

Ce verdict est relativement clément. Thiago Motta, auteur d’un léger coup de tête sur Paul Baysse, était poursuivi pour ‘bousculade volontaire’ et ‘tentative de coups’. Il risquait, théoriquement, entre quatre et six matchs de suspension. Quant à Angel Di Maria, coupable d’un tacle très agressif sur le Niçois Arnaud Souquet, il risquait lui trois matchs ferme. »

Rien de choquant dans ces suspensions.

Des sanctions qui sont difficiles de qualifer de clémentes puisque les 2 joueurs louperont 2 matchs, mais il faut avouer que c’est loin d’être sévère. Motta et Di Maria ont été auteurs d’un mauvais geste (de natures différentes), il est normal qu’ils soient suspendus pour plus d’un match. Espérons que les Parisiens sauront maîtriser leurs nerfs la prochaine fois.

Les 2 joueurs manqueront donc le match contre Bastia ce samedi et le déplacement à Saint-Etienne le weekend suivant (36e et 37e journées de championnat). Ils devraient au moins être disponibles pour le dernier match de Ligue 1 (réception de Caen) et la finale de Coupe de France (contre Angers), ce qui est l’essentiel.

A noter que le président Nasser Al-Khelaïfi s’en sort lui sans réprimande suite à sa critique de l’arbitrage français.