La fin de la Ligue des Champions en Final 8, Cazarre évoque « la chatte à DD » pour le PSG

Julien Cazarre, humoriste sportif, a évoqué dans sa dernière chronique pour France Football la fin de la Ligue des Champions qui sera finalement en Final 8 (les quarts et demi-finales en matchs « secs » plutôt que des allers-retours) du 12 au 23 août à Lisbonne. Un coup de chance pour Paris selon lui, comme il l’explique avec son style si particulier.

« L’OL et le PSG vont arriver sur la ligne de départ gras comme des cochons, avec comme seul échauffement le trajet à la marche entre le vestiaire et le rond central du terrain. (…) Les Parisiens vont être les cocus de l’histoire, pour une fois qu’ils passent les huitièmes… Ben, justement pas, au contraire, ça sent la chatte à DD cette histoire.

Cazarre « C’est à se demander si c’est pas Nasser qui a inventé la nouvelle formule. »

Le manque de rythme ? Ils n’ont pas de rythme, jamais, alors, ça changera pas grand-chose. Le manque de compét’ ? Ils n’ont pas de compét’, ils jouent en Ligue 1. Le stress de jouer devant son public ? Y a pas de public. La peur d’une remontada ? Y a pas de match retour ! C’est à se demander si c’est pas Nasser qui a inventé la nouvelle formule. Ça va finir par se voir… »

Bien sûr, Cazarre exagère les choses puisque cela fait partie de son humour. Et on peut lui accorder que ce qu’il souligne n’est pas dénué de sens. Du moins, il n’y a pas de point négatif pour le PSG avec cette décision compte tenu de la situation. Les supporters parisiens auraient préféré avoir un quart de finale dans un Parc des Princes plein. Mais une fois que c’était à oublier, cette formule est une bonne nouvelle.

Cela limitera le retard physique des Parisiens face à des adversaires qui auront pu finir leur championnat, sauf peut-être si on pat de l’idée qu’ils pourraient être fatigués. Mais l’essentiel pour le PSG est de ne pas avoir à enchaîner plus de matchs intenses en peu de temps. En tout cas, Paris a ses chances et devra donner le maximum pour aller au bout de la compétition.