LdC – Umtiti « quand on a marqué, on leur a fait mal et mentalement »

Le 08 mars dernier le Paris Saint-Germain s’inclinait 6-1 au Camp Nou face au FC Barcelone en 8ème de finale de Ligue des Champions et subissait la plus importante  » remontada «  de l’histoire après s’être imposé 4-0 à l’aller. Lors de son passage sur les ondes de RMC, le défenseur barcelonais, Samuel Umtiti, est revenu sur cette folle ou triste soirée.

« C’est vraiment un gros moment, un match que je n’oublierai pas. Au match aller, on avait vraiment été en-dessous de ce qu’on était capable de faire. On était peut-être les seuls à penser pouvoir faire ce match-là. […]

La vérité, c’est que le but de Cavani nous a fait mal. Il nous a mis un coup de massue. Et puis après, on a pensé au discours du coach. Il nous a dit : ‘Les gars, même s’il reste cinq minutes, on peut en marquer trois’. Il nous l’a vraiment dit. Ça n’a pas été facile mais on a su trouver cette force mentale pour y croire encore et encore. […]

Est-ce qu’il y a eu de la suffisance chez les Parisiens ? Je ne sais pas. Ils nous ont attendus, ils nous ont laissé jouer et ce n’était peut-être pas la solution. On n’a peut-être pas fait notre meilleur match mais quand on a marqué, on leur a fait mal et mentalement, je pense, ils ont baissé assez facilement »

Ce match restera inexplicable autant pour les Parisiens que les Barcelonais. Malheureusement le PSG est lui rentré dans l’histoire de la LDC avec cette défaite 6-1. Ce moment restera seulement beau pour les supporters catalans et les amateurs de foot. Mais les supporters parisiens ainsi que les joueurs attendent certainement impatiemment cette nouvelle campagne européenne pour réellement passer à autre chose.

La Ligue des Champions est la compétition dont tous les clubs rêvent, donc forcément lorsque vous subissez une telle défaite cela reste dans dans les mémoires. Espérons en tout cas que ce match permettent au PSG de prendre de l’expérience et que ce dernier parvienne à rebondir l’an prochain dans sa nouvelle campagne européenne.