Bernat évoque Sarabia, Jesé et Herrera, ainsi que ses objectifs avec le PSG

Juan Bernat, arrière gauche de 26 ans du Paris Saint-Germain, s’est exprimé auprès du site officiel du club. Un entretien au cours duquel il a notamment eu quelques mots pour ses 3 coéquipiers espagnols à Paris : Ander Herrera (milieu de 29 ans qui vient de Manchester United), Pablo Sarabia (milieu offensif/ailier de 27 ans qui arrive du FC Séville) et Jesé Rodriguez (attaquant de 26 ans qui revient d’un prêt au Betis Séville).

« Ce sont tous de grands joueurs et de bonnes personnes. Je connais Pablo (Sarabia) depuis longtemps déjà. Même chose concernant Jesé. Je vais découvrir Herrera, que je connais moins. Ce sont vraiment des mecs bien. Pablo sort d’une très bonne saison avec Séville. Herrera est un joueur confirmé, avec de grandes qualités. Il va apporter beaucoup de choses à l’équipe, il joue facile. Ce sont vraiment de grands joueurs. Je connais Jesé depuis tout petit et c’est également un très bon joueur. »

Il aurait été étrange pour Bernat d’avoir autre chose que des mots positifs pour ses coéquipiers. D’autant plus pour des compatriotes. Il est sans doute heureux d’en avoir dans l’équipe. Surtout s’il les connaît déjà. Et on ne peut qu’aller dans son sens concernant Herrera. Il a montré tout le bien qu’il peut apporter sur les premiers matchs amicaux : agressivité à la récupération et de très bonnes passes dans le jeu, notamment. Reste à confirmer, mais on ne se fait pas soucis. Pour Sarabia non plus d’ailleurs.

Le latéral gauche a aussi évoqué la saison à venir, sa seconde à Paris après une première très réussie.

Bernat «  j’ai beaucoup d’envie et de motivation. »

« C’est effectivement un peu la saison de la confirmation pour moi. Je suis satisfait de ma saison passée et j’ai beaucoup d’envie et de motivation pour celle qui arrive. Je vais me préparer pour cela ! »

Décrié par certains supporters et « spécialistes » à ses premiers pas, Bernat a prouvé qu’il a bien sa place au PSG. On lui fait confiance pour continuer à bien travailler pour rester un atout sur son côté gauche.

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