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Guingamp/PSG – Desplat: « Il y a une chance sur deux pour que le but soit accordé »

par
Flavien Casini
le 19 août 2018 à 21:45

Le président de l’En Avant de Guingamp, Bertrand Desplat, s’est exprimé en zone mixte suite à la défaite face au Paris Saint-Germain 1-3. Le dirigeant breton a notamment poussé un coup de gueule sur l’arbitrage vidéo puisque les guingampais ont vu un but être refusé par l’arbitre, qui a confirmé sa décision avec l’arbitrage vidéo.

«Il y a une action assez litigieuse sur Marcus Coco, je ne sais pas s’il y a vraiment penalty mais je pense que ça aurait mérité d’être au moins contrôlé par l’arbitre central. Donc, aujourd’hui, je dirais que ce n’était pas le grand soir de l’arbitrage vidéo. Il y a eu une interruption qui a duré beaucoup trop longtemps, qui casse le jeu et le rythme. Il y a une chance sur deux pour que le but soit accordé. Pour moi, quand je regarde l’action, je me dis qu’il y a but et que l’on doit récompenser le football offensif.»

Des contestations de frustration plus que de raison.

L’arbitre de la rencontre a mis énormément de temps avant de prendre la décision d’annuler le but, mais comme n’importe qu’elle décision c’est seulement à l’appréciation de l’arbitre. Il n’y a pas de football à récompenser, il faut simplement savoir prendre les bonnes décisions. Forcément quand c’est en la défaveur d’une équipe cette décision sera toujours contestée par ceux qui la subissent.

Peu importe l’aide apportée aux arbitres, ce sera toujours à l’appréciation de ce dernier et ce sera donc toujours sujet à contestation. Cette fois, il semble que les décisions soient les bonnes et il faut l’accepter. Il faut être prudent quand on voit le match depuis les tribunes avant de juger l’arbitre. On peut être sûr que si Guingamp prend le même but que le PSG, il ne sera pas en faveur du « football offensif. »

Quant à l’action sur Coco, nous rappelons que les arbitres qui ont la vidéo regardent toutes les actions. S’ils n’ont rien signalé à l’arbitre principal, c’est qu’ils ont considéré qu’il n’y avait pas d’élément pour le faire hésiter sur son choix en voyant les images.