Monaco/PSG – Les notes des Parisiens dans la presse : Vitinha encore honoré, le fiasco des attaquants

Samedi au Stade Louis II, le Paris Saint-Germain s’est incliné 1-0 face à Monaco (résumé vidéo PSG/Monaco) lors de la 14e journée de Ligue 1 2025-2026. Voici les notes attribuées par Le Parisien et L’Équipe aux joueurs de la capitale (retrouvez les nôtres ici). 

Le Parisien :

Kvaratskhelia (4,5) – Mayulu (3,5) – Lee (4)

Ruiz (3,5) – Vitinha (5,5) – Neves (4)

Hernandez (4) – Pacho (4,5) – Marquinhos (5) – Zaïre-Emery (4)

Chevalier (5,5)

L’Equipe :

Luis Enrique  – 3

Kvaratskhelia (3) – Mayulu (3) – Lee (4)

Ruiz (5) – Vitinha (6) – Neves (3)

Hernandez (4) – Pacho (3) – Marquinhos (4) – Zaïre-Emery (4)

Chevalier (5)

L’Équipe n’a pas seulement distribué des mauvaises notes après Monaco-PSG : elles racontent un match où Paris a été dominé dans tous les registres, et où le contexte renforce encore la sévérité du jugement. Monaco restait sur trois défaites mais a abordé ce rendez-vous comme une relance attendue, avec un pressing constant qui a coupé Paris de son jeu. Résultat : les trois attaquants n’ont jamais trouvé d’espace ni de rythme, ce qui colle parfaitement avec l’inefficacité offensive vue sur le terrain.

Au milieu, le contraste est total : Vitinha (6) surnage pour L’Equipe mais les deux autres se sont fait étouffer, preuve que l’intensité monégasque a privé Paris de son moteur d’habitude. La défense souffre du même mal : Hernandez, Marquinhos et Zaïre-Emery  n’ont pas réussi à stabiliser le bloc, tandis que Pacho (3) a vécu un match très compliqué, symbole d’une arrière-garde bousculée et privée de repères par les absences du moment.

Même Luis Enrique reçoit un 3, logique au vu d’un plan de jeu bancal, d’un manque d’adaptabilité et d’un PSG trop frileux dans un contexte pourtant favorable sur le papier (quid de Ramos et Barcola). Chevalier n’a pas commis d’erreur, mais n’a rien changé non plus ou presque. Les notes de la presse ne sont pas qu’un verdict individuel : elles soulignent un vrai problème collectif, entre manque d’intensité, déséquilibre tactique et incapacité à répondre à une équipe monégasque affamée.