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Vitinha détaille sa transformation au PSG sous Luis Enrique
Vitinha, 25 ans, milieu du Paris Saint-Germain, s’est confié à La Gazzetta dello Sport pour revenir sur son évolution et l’importance du travail imposé par Luis Enrique. Le Portugais insiste sur la rigueur quotidienne au PSG et sur son envie d’aider l’équipe, notamment grâce à sa qualité de passe, travaillée depuis l’enfance.
ℹ️🔴🔵 « Ma progression depuis deux ans ? J’ai travaillé dur, j’ai eu un peu de chance et j’ai pu compter sur des personnes importantes, tant sur le plan personnel que sportif. »
🤝 « À commencer par Luis Enrique, qui a sans doute eu l’influence la plus déterminante sur ma… pic.twitter.com/VkDxTpyT43
— ParisSG INFOS (@Paris_sginfos) December 8, 2025
ℹ️🔴🔵 « Luis Enrique ne fait aucune concession à l’entraînement ? C’est vrai, il est un peu pénible (rires), mais j’aime ça comme ça, car on ne peut que progresser. »
📈 « C’est un excellent entraîneur, non seulement sur le plan technique et tactique, mais aussi humain, ce qui… pic.twitter.com/cUJzszDxKV
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Vitinha « J’ai travaillé dur »
« Ma progression depuis deux ans ?
J’ai travaillé dur, j’ai eu un peu de chance et j’ai pu compter sur des personnes importantes, tant sur le plan personnel que sportif. À commencer par Luis Enrique, qui a sans doute eu l’influence la plus déterminante sur ma carrière.
L’un des meilleurs milieux de terrain au monde ?
Je traverse une période positive, mais je n’oublie pas qu’une saison comporte aussi des moments difficiles et que les critiques sont inévitables. Moi, cependant, l’important est de rester aussi fort que possible pour aider l’équipe. Au PSG, chaque match est important. On ne fait pas de distinction entre les matchs de championnat, de Ligue des Champions ou de Coupe de France, où une défaite est synonyme d’élimination.
Vitinha « C’est vrai, il est un peu pénible »
Luis Enrique ne fait aucune concession à l’entraînement ?
C’est vrai, il est un peu pénible (rires), mais j’aime ça comme ça, car on ne peut que progresser. C’est un excellent entraîneur, non seulement sur le plan technique et tactique, mais aussi humain, ce qui fait toute la différence à ce niveau.
Mes passes décisives ?
C’est quelque chose que je travaille depuis que j’ai commencé le football à six ans. C’est une de mes caractéristiques. Je n’ai peut-être pas beaucoup d’autres qualités, mais la passe, c’est quelque chose que je maîtrise. »
Dans cet entretien, Vitinha, 25 ans, décrit surtout un environnement où l’exigence permanente est devenue son carburant. La relation avec Luis Enrique, 54 ans, apparaît comme le point d’appui majeur de cette progression : un entraîneur intraitable mais profondément humain, qui pousse chacun au-delà de sa zone de confort. Le Portugais ne cherche pas l’esbroufe ; il rappelle presque avec modestie que la passe, cette signature technique qu’il peaufine depuis l’âge de six ans, reste son vrai trésor.
Le reste, dit-il, se construit dans l’effort, la discipline et l’acceptation des périodes plus compliquées. Il martèle que, pour le Paris Saint-Germain, chaque compétition impose la même intensité, comme une manière de résumer la culture que le coach a installée : travailler, répéter, et ne jamais croire que le moindre rendez-vous est insignifiant. Une mentalité qui explique sa constance depuis deux saisons.







