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Hoarau se confie à propos de son passage au PSG et son amour pour le club
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Hoarau se confie à propos de son passage au PSG et son amour pour le club

Guillaume Hoarau, attaquant de 36 ans de Young Boys de Berne passé notamment par le Paris Saint-Germain (2008-2013), a participé à un live Instagram du club parisien avec Robbie Thomson et Ambre Godillon. Maillot du PSG sur le dos, le Réunionais a évoqué son passage à Paris avec quelques détails et son lien fort qui existe encore avec le club de la capitale.

Hoarau « Paris c’est quelque chose d’extraordinaire, cela ne peut pas s’expliquer. Il faut le vivre. »

Mon parcours jusqu’au PSG ?

Une fois que j’étais à Paris, le rêve s’est réalisé et je visais encore plus haut. Il y a eu une certaine pression. Mais j’étais surtout fier.

La pression est décuplée pour les attaquants ?

La pression, le mot est faible. A Paris, tu sais que tu n’as pas le droit à l’échec. C’est soit tu deviens quelqu’un, soit il faut que tu te refasses. J’ai eu, à force de travail, la chance de connaître des années extraordinaires. Mon nom a pris un peu de notoriété, notamment à la Réunion. Paris c’est quelque chose d’extraordinaire, cela ne peut pas s’expliquer. Il faut le vivre.

Je suis dans le top 10 des buts ?

Aux dernières nouvelles oui, alors arrêtez d’acheter des attaquants (rires).

Hoarau « En tant que joueur et homme, c’est une page dorée de mon histoire. »

Comment expliqué mon attachement pour le PSG ?

Il faut savoir que j’ai toujours eu de bons contacts avec mes anciens clubs. Je suis toujours Le Havre ou Gueugnon. Paris, c’est Paris. C’est là-bas que je me suis découvert, que je me suis révélé. Il y a aussi mon fils qui est né. En tant que joueur et homme, c’est une page dorée de mon histoire.

Mon but en finale de Coupe de France ?

Je me suis cassé le doigt pendant le match, mais je ne le savais pas. On me l’a dit à la mi-temps. Mais j’ai voulu jouer, j’ai serré les dents. J’ai fait un match pourri. Mais il y a eu finalement cette action, avec le tir ou le centre de Jallet et le ballon qui me rebondit sur la tête (rires). J’ai été au bon endroit au bon moment. C’est un rêve qui se réalise.

Mon top 3 des moments au club ?

Mon doublé au Vélodrome, c’est là que je les gens m’ont vraiment adopté. Cela m’a aussi donné de la confiance, ça m’a ouvert la voie. Après, il fallait réussir à maintenir la barre haute. C’est là que j’ai vraiment lancé l’histoire à Paris.

Hoarau « je suis fier d’avoir ajouté ma pierre quelque part. J’espère qu’ils vont gagner des trophées. »

L’importance du lien avec les passeurs ?

Cela se fait à l’entraînement. Jérôme Rothen me disait « Le long, va dans cette zone et le ballon va arriver » (rires). C’était à moi de m’adapter. Cela pouvait avoir l’air facile, mais c’est du travail. Le fait d’avoir du plaisir à jouer ensemble cela facilite les choses. Il y avait de la qualité avec Giuly et Sessegnon, les automatismes viennent avec le temps. (…) On avait un super groupe sur le côté humain.

C’est toujours mon PSG aujourd’hui ?

Oui, ce sont les mêmes couleurs. Aujourd’hui, c’est une machine. Ils ont construit une équipe…woah. Il faut en profiter. Maintenant, ce serait sans doute impossible pour moi de rejoindre cette équipe. Mais je suis fier d’avoir ajouté ma pierre quelque part. J’espère qu’ils vont gagner des trophées.

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6 Comments

  1. parisiendu30

    11 juin 2020 at 09:06

    Bjr Pf 😁. Salut Nico , ça fait un bail mais ça fait zizirrr

    • NicolasB

      11 juin 2020 at 09:54

      Saluuuut ! Je suis d’accord ahaha

  2. ecthgow

    11 juin 2020 at 08:03

    Dans une période que je qualifierais de « difficile » niveau équipe, j’aimais bien le joueur et il a mis des but important pour l’époque.

    • NicolasB

      11 juin 2020 at 08:28

      Oui plutôt, après un début un peu compliqué

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