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Lyon/PSG - Cherki "Quand on voit le niveau de Paris et le fait d'avoir pu les faire douter..."
@Anthony Bibard/FEP/Icon Sport

Autour du PSG

Lyon/PSG – Cherki « Quand on voit le niveau de Paris et le fait d’avoir pu les faire douter… »

Le Paris Saint-Germain et Lyon s’affrontaient ce samedi au Groupama Stadium pour le compte de la 23e journée de Ligue 1 2024-2025. Une rencontre qui s’est terminée avec une victoire parisienne 2-3 (résumé vidéo Lyon/PSG). Après cette rencontre, l’attaquant de l’équipe lyonnaise s’est exprimé en zone mixte. Il a mis en avant les regrets de ne pas avoir joué dès la première mi-temps comme lors de la seconde.

 

Cherki « C’est là que l’on peut avoir des regrets. »

Des regrets ?

Forcément, quand on voit la seconde période que l’on arrive à faire, les ingrédients que l’on a mis, je pense que l’on peut regretter notre première période. Il faut continuer sur la lancée de la 2e période. On a montré que l’on est une équipe qui joue de l’avant, marquer, gagner.

Quels ont été les problèmes en 1ere période ?

On a trop regardé jouer, moi le premier. On a trop été dans l’attente d’une erreur ou quelque chose. On doit travailler sur ça. On sait que c’est une très bonne équipe de Paris, qui joue très bien au ballon.

On aurait dû se lâcher plutôt, jouer plus vite, plus fort, essayer de les mettre à mal comme en seconde période. C’est là que l’on peut avoir des regrets.

Qu’est-ce qui explique la différence ?

Il y a un peu de tout, de la confiance, de la tactique, plein de choses. Je ne sais pas pourquoi on n’a pas mis les mêmes ingrédients. On doit continuer sur la seconde période, il y a beaucoup de positif.

Cherki « Sur les 20, voire 45 dernières minutes, on a poussé et ils ont été un peu dans le doute. »

C’était impossible de faire monter le bloc en première ?

Il n’y a rien d’impossible dans le football. Il fallait prendre un peu plus de courage, un mot utilisé par le coach à la mi-temps. Cela a été valable en seconde période.

Vous avez été trop frileux ?

On n’a pas été frileux, même si on a joué de façon particulière. On avait des consignes qui auraient pu être plus efficaces. Mais on va garder le positif, la seconde période. Quand on voit le niveau de Paris et le fait d’avoir pu les faire douter, c’est positif. (…) Sur les 20, voire 45 dernières minutes, on a poussé et ils ont été un peu dans le doute.

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