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Galtier, un message fort pour Rico "Il faut croire en la vie, croire en la médecine."
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Lorient/PSG – Galtier évoque la préparation, l’adversaire et la peur des blessures

En marge de la conférence de presse ce samedi pour évoquer le match de la 14e journée de Ligue 1 2022-2023 demain au Stade du Moustoir contre Lorient (coup d’envoi à 13h, diffusion sur Amazon Prime), Christophe Galtier, entraîneur du Paris Saint-Germain (1er), était interviewé au micro de PSG TV. L’occasion d’évoquer la préparation difficile de ce match juste avant la Coupe du Monde, l’adversaire et sa gestion de la crainte des blessures.

Galtier « on s’est vite tourné sur cette rencontre, avec l’obligation de faire en sorte de battre Lorient. »

Comment mettre la LDC de côté ?

Tout le monde aura la tête au tirage lundi, un moment particulier et excitant. Mais on se plonge rapidement dans le championnat, on a encore 2 matchs avant la coupure. Dont ce déplacement à Lorient, l’équipe surprise du début de championnat. C’est une équipe depuis longtemps sur le podium qui a un jeu vif qui plaît aux supporters. C’est aussi un horaire particulier pour nous, il faudra être bien réveillé. Après le match contre la Juventus, on s’est vite tourné sur cette rencontre, avec l’obligation de faire en sorte de battre Lorient.

On s’attend à être bousculé ?

Dans tous les matchs il y a des périodes durant lesquelles on peut être bousculé. L’entame sera très importante, nous devons imposer notre style. C’est une équipe avec beaucoup de mouvement et qui est très forte en transition. Nous travaillons beaucoup sur le fait d’avoir l’équilibre tout en jouant haut. C’est un axe depuis notre retour de Turin.

Galtier « je leur dis souvent de jouer à fond, c’est la meilleure façon de faire une bonne Coupe du Monde. »

Comment gérer la peur des joueurs d’une blessure ?

L’échange est important entre le staff technique et le staff médical, le staff performant. Le club a développé des outils pour mesurer l’état de forme physique et mental. On travaille énormément. Après, dans ma manière de gérer il y a beaucoup d’échanges. Parfois informel, car les joueurs se livrent plus facilement (sourire). On a aussi des échanges formels, sur la forme et cette crainte. Je l’intègre évidemment sur la charge de travail, sur la composition, sur la gestion dans la globalité des entrants et des sortants.

La crainte existe, d’autant plus avec la fin de la Ligue des Champions. On joue quasiment tous les 3 jours depuis le début de la saison. Ce sera le 23e match pour les internationaux. Il y a cette appréhension, mais il faut les rassurer. Il y a leur travail et le fait de nous faire confiance sur le travail et le temps de jeu. Mais on ne peut pas occulter la crainte de louper le Mondial. Mais je leur dis souvent de jouer à fond, c’est la meilleure façon de faire une bonne Coupe du Monde.

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