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PSGOM - Lucas il faut déstabiliser l'adversaire...on va tout faire pour que les supporters puissent rêver

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PSG/OM – Lucas « il faut déstabiliser l’adversaire…on va tout faire pour que les supporters puissent rêver »

A la veille de Paris Saint-Germain / Olympique de Marseille (10e journée de Ligue 1, coup d’envoi à 20h45), Lucas Moura, ailier parisien de 24 ans, s’est confié auprès de PSG TV. Il a notamment expliqué la façon dont il doit jouer, les progrès qu’il a fait en France et le Classico.

« Le style de jeu – Il faut essayer tout le temps de faire quelque chose pour déstabiliser l’adversaire. Il faut qu’on fasse quelque chose de différent. Si on fait toujours la même chose, l’adversaire sait comment défendre, récupérer le ballon. Des fois tu fais un dribble, des fois tu fais une passe.

Ses progrès – Depuis que je suis en France, j’ai appris à dribbler beaucoup moins. Ici c’est plus difficile, avec beaucoup plus de contacts, de chocs. Il faut dribbler plus près de la surface. L’important c’est d’être efficace. Si tu fais un dribble qui n’amène pas un but, ça sert à rien. Il faut faire une chose avec un objectif. Mais c’est vrai que des fois tu fais quelque chose pour monter le public. »

A son arrivée en France à l’hiver de la saison 2012-2013, Lucas avait tendance à foncer tête baissée quand il recevait le ballon. De quoi avoir quelques beaux exploits, mais aussi beaucoup de pertes de balles inutiles. Le Brésilien a fait de grands progrès tactiques au fil des années, que ce soit dans le placement, le jeu de passes ou les efforts défensifs. Il n’est pas encore parfait, mais l’ailier de 24 ans a clairement appris à varier son jeu. Sans oublier de faire parfois des dribbles impressionnants et qui sont généralement vraiment utiles.

« Son slalom face à l’OM lors de la saison 2013-2014 – Dans la rue, tous les supporters me parlent de ça ‘Lucas, le match contre Marseille tu dois faire la même chose, mais tu marques cette fois’ (rires). »

Lucas était parti des 30 mètres de son but pour finalement presque marquer, sans avoir fait une passe. Une accélération dans l’axe du terrain qui avait été impressionnante. Malheureusement, Rod Fanni avait repoussé sur la ligne le petit piqué du Brésilien, qui n’a pas réussi à avoir une finition du niveau de ses dribbles. Un constat qui a été longtemps vrai pour Lucas, qui se montre beaucoup plus efficace cette saison.

Le Classico C’est incroyable la façon dont ils pensent au Classico. Il y a plusieurs jours, un d’eux m’a dit ‘le 23 octobre arrive’, j’ai dit ‘c’est quoi le 23 octobre?’. Ils ne pensent même pas aux prochains matchs, mais à celui contre Marseille. Tous les supporters parisiens l’attendent. On sait que c’est un match différent, une atmosphère différente. Tous les joueurs ont envie de jouer un match comme ça. Si j’en ai la chance, je vais essayer de faire la même chose et j’espère que je marque.

Seulement un joueur qui marque connaît l’émotion de marquer un but. Dans un Classico, c’est beaucoup chaud. Quand l’ambiance c’est chaud, que le Parc est chaud, que les supporters chantent, cela nous donne beaucoup de motivation. Et on va tout faire pour que les supportent puissent rêver. »

Même si le match contre l’OL a gagné en importance, du fait de la concurrence au classement sur les dernières saisons et des déclarations de son président Jean-Michel Aulas, le Classico reste un événement particulier. C’est la première date que les supporters cherchent sur le calendrier. Et à l’approche de ce match (quelques semaines), cela devient un sujet de pensée et de discussions fréquent. Les joueurs étrangers arrivés au PSG ces derniers temps ont pu comprendre l’importance des matchs contre l’OM. Et si certains ne l’ont pas encore bien en tête et dans le cœur, on espère que les supporters sauront transmettre cette intensité avec des chants dimanche soir.

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