Vitinha se lâche : Bilan du PSG, difficultés et célébration

Vitinha, milieu de 25 du Paris Saint-Germain, s’est confié en zone mixte lors du Média Day du PSG. L’occasion d’évoquer le bilan du début de saison et les difficultés rencontrées. Le tout avec de la confiance pour la suite et sans oublier d’expliquer sa célébration de but.

Vitinha « ce n’est pas une excuse, il y a plusieurs circonstances. »

Le bilan du début de saison ?

C’est un bon bilan, on fait un bon début de saison. Bien sûr qu’on est deuxième du championnat et on n’aime pas ça. On aime être premiers, comme toujours. Mais, ce n’est pas une excuse, il y a plusieurs circonstances qui ont une influence sur le début de saison. Il y a l’enchaînement de la saison dernière, le peu de vacances, la fatigue, la quantité de blessures qu’on a eues. On n’a eu le groupe pas au complet aucune fois.

Avec tout ça, ces choses qui influencent le début de saison, nos positions en Ligue des champions comme en championnat, je dis que c’est un bon début de saison. Mais, bien sûr qu’on n’aime pas être deuxième et on va tout faire pour retrouver notre première place.

Vitinha « On fait les choses que l’on doit faire »

Comment juger le niveau de l’équipe par rapport à celui atteint l’an dernier ?

C’est difficile à dire à ce moment-là. Il y a plusieurs aspects différents. Notamment les blessures. Je pense qu’on est bien. Les joueurs qui ont joué cette saison ont bien joué. On est 2e en Ligue des Champions, en Ligue 1, même si on n’aime pas être 2e et on veut être premier. Il y a tout un contexte.

Comment réussir une grande saison encore ?

Tout d’abord, il faut bien finir 2025. Ensuite, il faut faire tout ce qu’on a fait en 2025, tout le boulot, l’entraînement, le travail. Après, c’est sûr que le football ce n’est pas seulement 1 plus 1 égal 2. On fait les choses que l’on doit faire, ce que l’on sait qui est important pour aller le plus loin possible. Et après, il faut un peu de chance aussi. Il y a plusieurs aspects. Mais on va surtout bien travailler.

Vitinha « Je pense que quand on est au top, même si tu connais, il n’y a pas grand-chose à faire. »

Les adversaires se préparent mieux contre vous ? Quel adversaire t’as le plus impressionné au PSG ?

Peut-être, mais après on a des aspects qui changent. On n’est plu la même équipe qu’au début avec Luis Enrique. Je n’y crois pas trop, je ne me concentre pas dessus. Je ne pense pas que c’est un aspect décisif. On connaît aussi l’équipe adverse et parfois on n’y arrive pas. Je pense que quand on est au top, même si tu connais, il n’y a pas grand-chose à faire.

Pour l’adversaire le plus impressionnant…Je peux dire nous-mêmes ? (rires). Il y a eu le Bayern, qui a été très fort. Barcelone était bien, Arsenal aussi. Les équipes anglaises sont toujours difficiles à jouer. Je ne peux pas en dire un.

Vitinha « Personne ne le fait, donc je le garde. »

La célébration avec le serre-tête ?

« Il n’y a rien de particulier, il n’y a pas de symbole ou de signification. C’était juste les intendants. Une fois ils m’ont dit que j’avais un serre-tête et qu’il fallait que je le fasse une fois. Et moi j’ai bien aimé donc je me suis dit que j’allais garder ça. Personne ne le fait, donc je le garde. Pour le moment je vais la garder (la célébration). Tant que je marque.