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Le PSG répond à Jérome Rothen

"On ne le réintégrera pas, c’est une décision sportive". Les propos d'Alain Roche sont clairs. Jérome Rothen continuera de s'entraîner avec la réserve du club. Malgré les conclusions de l'huissier envoyé par le joueur, le PSG est prêt à aller au tribunal. "S’il faut aller devant la commission juridique de la Ligue de football professionnel, on ira."

Peu importe les conclusions de l'huissier, le PSG ne veut plus de Jérome Rothen dans le groupe pro. Si le rapport envoyé à Me Alexis Rutman signale, entre autres, que la fontaine à eau ou le sauna de l'équipe réserve ne marchent pas, il rapporte surtout que Rothen ne bénéficie pas des conditions que prône la chartre du footballeur.

Néanmoins, par l'intermédiaire d'Alain Roche, le club estime être en règle. "Jérôme a le droit de faire venir un huissier. Nous, on estime être en adéquation avec la charte". Le responsable de la cellule de recrutement précise également que des juristes ont approuvé la décision du PSG. A savoir laisser Jérôme Rothen en CFA après la fermeture du mercato d'été, le 31 août. Un choix qui respecte les conditions des réglements du football professionnel.

Si l'avocat de Rothen souhaite qu'il retrouve le groupe pro, il admet également qu'une contrepartie financière l'aiderait à partir. "On aimerait que le club le réintègre spontanément. Et s’il lui formule une proposition financière acceptable, mon client s’en ira."

En attendant, le club n'est pas disposé à satisfaire les exigences de Rothen. Si le PSG se penche actuellement sur son cas pour lui trouver une nouvelle destination, c'est la commission juridique de la LFP qui réglera cette affaire. Selon un membre du syndicat des joueurs de l'UNFP, "Le texte de la charte peut prêter à débat et tout le monde peut penser être dans son droit".

Rothen débouté

Rien ne va pour Jérome Rothen. Dernièrement, le Tribunal de grande instance de Paris l'a débouté suite à ses attaques envers ses anciens conseillers sportifs. Son ancien agent, Axel Lablatinière et la société IMG à laquelle il appartenait étaient accusés pour "faux en écriture".

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