Anciens

Anciens – Van der Wiel « A Paris, l’atmosphère était vraiment très détendue, tout le monde était soi-même »

par
NicolasB
le 11 octobre 2016 à 22:43

Gregory Van der Wiel, arrière droit de 28 ans, n’a pas toujours bien vécu sa dernière saison au Paris Saint-Germain, où il est resté de 2012 à 2016. Notamment à cause d’une mauvaise relation avec l’entraîneur Laurent Blanc. Toutefois, le Néerlandais aujourd’hui à Fenerbahçe garde de très bons souvenirs avec ses coéquipiers parisiens. Il l’a fait savoir dans une interview accordée au Canal Football club.

« Je ne m’attendais pas à ça en intégrant un si grand club. J’ai été étonné de voir à quel point des grands joueurs pouvaient être aussi gentils et fous ! Ils sont très drôles. Lavezzi, David Luiz ou Ibra qui faisait des blagues toute la journée ! Papus Camara aussi bien sûr. Je pense que l’ambiance était vraiment super. Il y avait des Français, des Latino-Américains. A la fin de la journée, on était tous ensemble à rigoler dans les douches. C’était vraiment super.

Une anecdote ? Rien de particulier mais dans les vestiaires il y avait de la musique, tout le monde dansait. Il n’y a pas ça partout. Ici, à Fenerbahçe, tout le monde ne danse pas dans les vestiaires. A Paris, l’atmosphère était vraiment très détendue, tout le monde était soi-même. Certains jours, il y avait de la musique française, d’autres de la musique latine, tout le monde était intégré. »

C’est appréciable de voir que le groupe du PSG vit bien. Du moins a très bien vécu. On peut se dire qu’il y a toujours une bonne ambiance, mais chaque joueur cité par Van der Wiel est parti, sauf Camara qui est dans le staff parisien. Les choses ont pu un peu changer, mais tout semble encore bien se passer. Cela casse aussi un peu l’idée que les grands joueurs sont toujours très sérieux. Bien sûr, ils font attention à leur hygiène et travaillent avec beaucoup de concentration, mais cela n’empêche pas de s’amuser.Espérons que cette année le groupe va continuer à bien vivre et pourra célébrer beaucoup de belles victoires.

Aussi, on note un bel état d’esprit de Van der Wiel, qui ne se montre pas rancunier après une dernière année difficile dans la capitale. Le Néerlandais préfère retenir les bonnes choses vécues dans la capitale. Enfin, on peut retenir que cela casse pas mal certains articles écrits à l’époque par des médias français sur un vestiaire avec des tensions, et notamment un Van der Wiel qui aurait été un peu isolé.

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