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@Dave Winter/FEP/Icon Sport

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Fragilité défensive du Paris Saint-Germain : l’analyse d’un ancien parisien

Grégory Paisley (47 ans) analyse la situation de la ligne arrière du Paris Saint‑Germain dans un début de saison mitigé. Il pointe l’incorporation de nouveaux joueurs, la forme disparate de l’équipe et la perte d’homogénéité physique comme facteurs de la fragilité défensive du club.

Paisley « Oui, la défense est moins performante »

« Oui, la défense est moins performante […] Il y ade nouveaux joueurs à incorporer, il y a aussi des états de forme disparates. La défense, comme toute l’équipe, a besoin de retrouver une homogénéité physique. Les quatre de derrière ont été brillants la saison dernière parce que le milieu était extraordinaire. (…)

On ne peut pas être amplement satisfait par leur rendement. Chevalier, est un gardien de qualité mais il ne faudrait pas que sa passe compliquée s’éternise et que cela rejaillisse sur ses défenseurs.

Paisley « Il faut lui laisser du temps. »

Quant à Zabarnyi, il souffre de la comparaison avec Pacho qui s’est adapté rapidement dans un collectif qui montait en puissance. Cette saison, le collectif est amputé de ses hommes forts et Zabarnyi doit, en plus, se familiariser avec un nouveau système dans lequel il doit accepter le un-contre-un avec de la profondeur dans son dos. Il doit apprendre à défendre différemment qu’en Premier League. Il faut lui laisser du temps. »

Paisley décrit un secteur défensif en pleine transition. L’an passé, la ligne arrière bénéficiait d’un milieu de terrain dominant, qui absorbait une grande partie de la pression. Cette saison, l’équilibre n’est plus le même.

Lucas Chevalier (24 ans), pourtant considéré comme un portier fiable, vit une période moins convaincante, ce qui peut peser sur la confiance de ses défenseurs. Dans l’axe, Ilya Zabarnyi (23 ans) doit s’adapter à un collectif moins stable et à des exigences différentes de celles qu’il connaissait en Premier League.

Le consultant rappelle également que William Pacho (23 ans) s’était adapté très vite dans un contexte beaucoup plus favorable, ce qui rend la comparaison trompeuse. Pour Paisley, le problème dépasse les individualités : c’est toute la structure défensive qui doit retrouver rythme, repères et coordination pour redevenir performante.

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