LDC – L. Blanc et D. Luiz comptent sur l’union avec les supporters face à Chelsea

       Depuis quelques temps, les remarques sur le Parc des Princes se font de plus en plus au Paris Saint-Germain. Aujourd’hui, en conférence de presse, Laurent Blanc et David Luiz ont envoyé un message clair aux supporters pour le match de demain face à Chelsea.

Laurent, il y-t-il un sentiment de revanche par rapport à la saison passée et ce week-end? Cela peut-il donner une force psychologique au groupe? « On l’espère tous, moi le premier. Même si j’aurais préféré d’autres conditions. Ca peut resserrer les liens entre les joueurs, le staff, mais aussi le public. J’espère que cette alchimie sera présente demain. On a un adversaire de qualité, il va falloir qu’on soit très très bons pour renverser cette équipe. »

Samedi vous avez fait des gestes vers le public du Parc des Princes, en leur montrant qu’il dormait. Pouvez-vous expliquer ce geste? « Important pour tous les clubs d’avoir une connexion entre les joueurs et supporters. J’ai essayé de les réveiller, comme eux ils le font quand nous dormons sur le terrain. Ce sont de très bon supporters. Nous aurons besoin d’eux demain et pour le reste de la saison.« 

   C’est l’espoir pour demain soir, l’union, la détermination. Et pas seulement des joueurs. Le Parc des Princes sera très attendu. Sans fumigène, sans tambour, certes. Mais il faudra donner de la voix, soutenir des joueurs qui ne pourront pas totalement dominer leur adversaire du soir. Des joueurs qui risquent de souffrir physiquement, avec la fatigue accumulée samedi. Mais, si les supporters répondent présent, les joueurs peuvent oublier tout cela. C’est aussi pour cette raison que depuis plusieurs jours les membres du PSG, staff, joueurs, lancent un message au Parc des Princes et ne le critique pas. Comme le fait David Luiz, qui n’est certainement pas très content des « très bons supporters. » Il attend certainement mieux du Parc. Mais l’heure est à l’union, pas à la critique. Demain il faudra que le public montre ce qu’il dans les poumons, dans le cœur, tout comme les joueurs. L’un sans l’autre, ce ne sera pas possible.

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