
Autour du PSG
Lyon/PSG – la victimisation ridicule de Maciel, qui fustige l’arbitrage
L’Olympique Lyonnais et le Paris Saint-Germain s’affrontaient ce dimanche soir, pour le choc de cette 12e journée de Ligue 1. Et bien que l’équipe de Luis Enrique était fortement remaniée à cause des blessures, elle s’est imposée en toute fin de match sur le score de 2-3, avec un but arrivé au bout du temps additionnel. Jorge Maciel, entraîneur adjoint des Gones s’est exprimé, ou plutôt a longuement pleuré sur l’arbitrage à l’issue de la rencontre. Des propos recueillis par la chaîne Ligue1 +
Maciel: « peut-être que les arbitres sont fatigués comme nous les joueurs… »
Qu’est-ce que vous pouvez dire de l’arbitrage ?
Si on parle de l’arbitrage chaque semaine ça va être difficile. C’est à nous de faire le travail avec notre équipe et on est très fier de ce qu’on a fait. Il a 59000 personnes dans le stade il y en a que 4 qui n’ont pas regardé les fautes. Il y a même pas besoin de regarder les ralentis. Quand ça se passe dans un sens, on ne comprend pas, parce qu’on a même pas la possibilité de discuter dans l’arrogance. On prend un deuxième carton mais sur combien de fautes le PSG n’a pas pris de carton.
Je pense qu’en fasse on a la meilleure équipe d’Europe et ils n’ont pas besoin de jouer à 16. On fait un bon match on a joué jeudi, on est fier, le stade peu être fier du spectacle, on n’a pas dominé mais on a bien maîtrisé. Déjà le premier but c’est une faute sur Rachid, le deuxième but c’est un scandale, après il y a le ballon qui tape le poteau, il y a la main, mais le plus grave, peut-être que les arbitres sont fatigués comme nous les joueurs. Mais le plus important c’est qu’on fasse une vraie réflexion avec quelles règles on joue.
« Avec l’aide des arbitres ça les aide à être encore plus agressif »
Le PSG qui dégage sur les 6 m ça vous a surpris ?
Non ils ont compris ce qu’on voulait faire, un marquage individuel sur eux comme contre le Bayern. Après je pense qu’on a bien géré les dégagements longs on était bien sur les 2e ballons. Je pense qu’au niveau du pressing on était très stable. On voulait être compacts et ambitieux. Ils ont dégagé mais n’ont pas eu trop de réussite et on savait qu’avec le profil des joueurs, on pouvait maîtriser les duels aériens.
C’est l’évolution du foot et c’est peut-être parce qu’on a moins de temps pour préparer les matchs et qu’on doit trouver des solutions rapides. C’est pas une surprise, c’est en lien avec l’agressivité qu’on met. On avait préparé tout cela et les deux buts sont le parfait illustration parce que on avait travaillé. Le PSG est très fort en plus avec l’aide des arbitres ça les aide à être encore plus agressif.
















