Metz/PSG – Les notes des Parisiens : Mbappé décisif pour prendre la 1ere place

par
Tiphaine
le 24 avril 2021 à 18:50

Ce samedi, dans le cadre de la 34e journée de Ligue 1 2020-2021, le Paris Saint-Germain affrontait le FC Metz au Stade Saint-Symphorien. Après un match pas toujours très convaincant mais relativement positif, Paris s’est imposé 1-3 et prend la tête de la Ligue 1 en attendant le match de Lille à Lyon dimanche soir. Voici nos notes des Parisiens.

Gardien –

Keylor Navas (6) – Il n’a strictement rien eu à faire en première mi-temps. Il ne peut rien sur le but mais fait comme souvent un gros arrêt par la suite.

Défenseurs –

Alessandro Florenzi (5.5) – Dans un match dominé par le PSG, il n’a pas apporté un plus dans le jeu offensif. Défensivement, il n’a pas eu trop de travail. Peu de centres en première mi-temps. Il n’a pas beaucoup plus brillé en seconde mi-temps.

Thilo Kehrer (6.5) – L’Allemand enchaîne un seconde match, dans l’axe, ce qui n’est pas anodin. Il a fait le job, bon de la tête, on l’a vu plutôt à son aise. Même si l’on doit relativiser avec le niveau offensif affiché par Metz. Son match est encourageant pour la suite.

Presnel Kimpembe (4.5) – Première mi-temps sérieuse, il n’a pas cédé à la facilité. Bien aidé par des Messins inoffensifs en première mi-temps. En seconde mi-temps il a commis des fautes qui ont amené le but messin. Une autre action messine a montré des difficultés. Il n’a pas réussi à rester concentré. Fautif.

Layvin Kurzawa (3) – Un peu plus en vue que Florenzi, il n’a pas été non plus extraordinaire. Ses centres n’ont pas trouvé preneur dans le premier acte et il a tout de même semblé souffrir physiquement dès le début du match quand les courses sur son côté se sont enchainée. Il est coupable sur le but de Metz et a reproduit la même erreur dans son dos, quelques minutes après. Des largesses défensives récurrentes. Remplacé par Mitchel Bakker à la 63e minute.

Milieux –

Leandro Paredes (6) – Il a joué dans un fauteuil dans ce milieu du PSG qui n’a pas eu beaucoup à s’employer vu la faible pression mise par les messins. Mais il a fait son job, sobrement. Deuxième mi-temps correct de sa part dans un match moyen.

Ander Herrera (7) – Discrètement, il commence à marquer les esprits de Pochettino. Il a un abatage conséquent au milieu et surtout il s’illustre techniquement. Il est le passeur décisif sur le but de Mbappé à la 5e minute, grâce à une super ouverture. Il marque des points à chaque rencontre. Il devient de plus en plus précieux.

Marco Verratti (7) – On a retrouvé le petit hibou. Joueur, râleur. Il a tout de même mis de l’énergie, bien que cela s’est vu qu’il ne jouait pas à 100%. Il a récupéré des ballons, joué juste par moment. Il permet les combinaisons dans l’entrejeu et c’est précieux contre ces défenses resserrées. On l’a senti très emprunté à la fin de la première mi-temps. Il a montré qu’il pouvait courir, avoir le ballon et en récupérer, il est de retour.

Attaquants –

Pablo Sarabia (5) – Alors il n’a pas tout raté mais il s’est illustré en faisant souvent les mauvais choix. Dans un match « facile » pour Paris, on attend aussi plus de justesse notamment pour se mettre à l’abris. Il n’a toujours pas la confiance. Remplacé par Angel Di Maria à la 65e minute.

Neymar (5) – Ce n’est pas le plus grand match de Neymar de sa carrière. Il ne semble pas à 100% et a fait de nombreux mauvais choix. On sent qu’il n’a pas joué avec la même envie. Cela se traduit par des courses trop longues, trop peu de jeu en première intention. Pourtant quand il réussit un geste il est dangereux. Il a eu des occasions. Assez moyen en seconde mi-temps. Remplacé à la 81e minute par Mauro Icardi, buteur sur une panenka à la 88e minute.

Kylian Mbappé (8) – Buteur à la 5e minute, il n’en finit plus de marquer. Il n’y pas beaucoup de choses à dire d’autre sur sa première mi-temps mais il a le mérite d’être là, efficace, c’est tout bon pour le PSG. Il inscrit le second but du PSG qui les envoie à la 59e minute, directement à la première place provisoire. Il sort touché au genou. Remplacé par Julian Draxler à la 87e minute.

Publicités