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Autour du PSG

PSG/Le Havre – Roussier en remet une couche et affirme qu’il refuse le report du match

En marge de la rencontre entre le Paris Saint-Germain et le Clermont Foot (1-1), dans le cadre de la 28e journée de Ligue 1, Jean-Michel Roussier président du Havre, a pesté contre le PSG. Selon lui, l’équipe alignée par Luis Enrique, entraîneur parisien, ne respectait pas le championnat de France. Un coup de gueule qu’il a poursuivi sur les ondes de RMC, affirmant même qu’il refusait catégoriquement de reporter la rencontre de son équipe face au PSG, prévue initialement le 27 avril prochains.

Roussier «je dis non tout de suite, il n’en est pas question.»

«La semaine a commencé quand la Ligue m’a informé que pour le cas où le PSG – ce que je leur souhaite sincèrement – passerait l’étape Barcelone et jouerait une demi-finale, le match contre Le Havre (31e journée) serait peut-être décalé entre la 33e et la 34e journée. Voilà comment ma colère a commencé.

J’ai dit à la Ligue :  »Vous rêvez. Vous pensez que dans la situation dans laquelle on est, je vais accepter de faire un déplacement à Nice puis au Parc avant de recevoir l’OM ? Vous êtes fous ! » En plus, on est entre l’avant-dernière et la dernière journée, le règlement stipule que ces deux journées sont sanctuarisées. Donc je dis non tout de suite, il n’en est pas question. »

Reste maintenant à savoir ce que la Ligue va décider. Mais en premier lieu, le décalage de cette journée de Ligue 1, était évidemment faite pour mettre le PSG dans les meilleures conditions pour la Ligue des Champions. Le parcours du club de la capitale est déterminant pour l’indice UEFA et de toutes évidences, atteindre la finale européenne serait un énorme plus pour le championnat de France, dans sa globalité.

C’est une réaction égoïste de la part du président du Havre qui pense avant-goût aux résultats de son équipe. Il est dans son rôle, c’est évident, maintenant que ce soit en rapport avec la composition d’équipe ou au décalage de cette journée, le PSG n’est pas responsable du résultat des équipes du bas de tableau. Il y a 34 journées, 34 matchs, 102 points à prendre pour se maintenir, ce n’est donc pas ces décisions qui vont à elles seules modifier le destin d’une équipe.

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