Revue de presse : vers une révolution du hors-jeu et la doublure de Hakimi

Ce mardi 28 octobre, la presse française (sur l’aspect sportif) s’est concentrée du côté du Paris Saint-Germain sur le choix de la doublure pour Achraf Hakimi (latéral droit de 26 ans), alors qu’il est au repos pour le match ce mercredi face à Lorient (coup d’envoi à 19h, diffusion sur Ligue1+) dans le cadre de la 10e journée de Ligue 1 2025-2026. Il y a aussi la possible révolution du hors-jeu, impulsé par Arsène Wenger, ancien coach d’Arsenal dorénavant directeur du développement de football à la FIFA.

Le Parisien –

L’Equipe –

Pour ce qui est de Hakimi, le coach Luis Enrique a bien expliqué que recruter un autre spécialiste serait difficile puisqu’il serait triste de jouer peu puisque l’international marocain est le meilleur à son poste et capable d’enchaîner très souvent. Mais il faut le remplacer parfois et le PSG a donc des options. Marquinhos (défenseur central de 31 ans) en fait partie. Warren Zaïre-Emery (milieu de 19 ans) aussi, comme João Neves (milieu de 21 ans) et Senny Mayulu (milieu de 19 ans).

Ce mercredi, ce peut être compliqué pour Neves, qui est incertain encore pour le moment et très probablement pas titulaire après plusieurs semaines d’absence. Zaïre-Emery pourrait, sauf que l’on est surpris de ne pas voir le journal sportif avancer davantage l’option Mayulu. Ce qui a été choisi récemment quand ce dernier et Zaïre-Emery étaient sur le terrain. Cela peut encore changer et peut-être que Mayulu sera au repos. En tout cas, on ne panique pas, le coach Luis Enrique sait ce qu’il fait.

Quant au hors-jeu, on peut comprendre la tentation. Cependant, on est loin d’être convaincu. Il y a l’idée étrange (c’est même l’angle pour l’article du Parisien) que cela réduirait les buts refusés pour quelques millimètres. Mais cela continuera forcément, ce sera simplement sur l’arrière de l’attaquant et non l’avant que la ligne sera placée. Aussi, le changement est présenté comme un atout pour une football spectaculaire. Pourtant, cette avance permise aux attaquants semble être une invitation à une défense basse, laissant encore moins d’espace. Peut-être que l’on se trompe, le football sait surprendre.