Autour du PSG
Roberto Martínez bluffé par Vitinha et Nuno Mendes au PSG
Vitinha (25 ans), milieu de terrain du Paris Saint-Germain, et Nuno Mendes (23 ans), latéral gauche du club parisien, continuent de marquer les esprits bien au-delà de la Ligue 1. Dans un entretien accordé à Marca, Roberto Martínez, sélectionneur du Portugal, a livré un éloge appuyé des deux joueurs, en totale cohérence avec la vision défendue par Luis Enrique au PSG.
ℹ️🔴🔵✨ « Vitinha est capable d’exécuter à la perfection les consignes des entraîneurs. Il possède les qualités techniques pour anticiper le jeu. Sa lecture du jeu et son contrôle de balle sont exceptionnels. Je partage l’avis de Luis Enrique. »
ℹ️ 🌟 « Nuno Mendes le meilleur… pic.twitter.com/zIsu0NJmQO
— ParisSG INFOS (@Paris_sginfos) December 23, 2025
« « Vitinha est capable d’exécuter à la perfection les consignes des entraîneurs. Il possède les qualités techniques pour anticiper le jeu. Sa lecture du jeu et son contrôle de balle sont exceptionnels. Je partage l’avis de Luis Enrique.
Nuno Mendes le meilleur latéral gauche ? C’est le plus polyvalent. Nuno peut jouer sur les ailes ou dans l’axe, il peut jouer davantage comme un numéro 10 que comme un latéral, il sait se projeter dans la surface, il peut jouer comme un troisième défenseur central… Je n’ai jamais vu un latéral gauche aussi performant à autant de postes différents. » Roberto Martínez, sélectionneur du Portugal, a Marca. »
Au Paris Saint-Germain, Vitinha (25 ans) et Nuno Mendes (23 ans) incarnent deux piliers complémentaires du projet porté par Luis Enrique. Le premier est devenu le cerveau silencieux de l’équipe : rythme, orientation du jeu, discipline tactique.
Vitinha n’est pas seulement un milieu propre, c’est un joueur qui fait respirer le collectif et sécurise les idées fortes du staff. Le second, Nuno Mendes, est une anomalie moderne : latéral, piston, défenseur axial, voire solution intérieure, il donne au PSG une liberté structurelle rare au plus haut niveau.
Cette importance se prolonge naturellement avec la Portugal, où Roberto Martínez s’appuie sur eux comme des garanties tactiques. L’un pense le jeu, l’autre le démultiplie. À Paris comme en sélection, ils ne sont plus des promesses : ils sont des fondations.






