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Autour du PSG

Top 10 des raisons de regarder Nice/PSG

Voici un nouvel épisode de notre saga. Les 10 bonnes raisons de suivre un match (avec quelques adaptations parfois). On reviendra sur les choses attirantes avant chaque match avec un mélange de sérieux et d’humour. Attention, il ne s’agit pas là de faire un tour exhaustif de la question. Ici, on se retrouve face à la 30e journée de Ligue 1 à Nice à l’Allianz Riviera.

10. Il n’y en a pas 10.

On fait des efforts, on cherche longtemps…mais ce PSG ne nous aide pas. On ne pense pas être à côté de la plaque en affirmant qu’au moins une grande partie des supporters parisiens ne sont pas impatients de revoir Paris sur le terrain. Mais beaucoup vont regarder le match, parce qu’il y a tout de même des éléments…

9. Didier Digard, encore des retrouvailles.

Juste après avoir affronté Laurent Blanc, ancien entraîneur du PSG de 2013 à 2016, Paris retrouve sur le banc adverse un autre ancien. Il s’agit de Didier Digard, coach niçois depuis janvier 2023 et milieu du PSG (2007-2008). Ce n’est pas grand-chose mais il peut y avoir la curiosité de voir où en est l’ancien parisien, même si son passage à Paris est loin d’être particulièrement mémorable.

8. Galtier face à son ancien club.

Christophe Galtier, actuel entraîneur du PSG, retourne dans le stade du club quitté l’été dernier pour signer à Nice. Cela après une saison très mitigée et des tensions importantes avec la direction (qui a un peu changé depuis aussi). Il peut être intéressant de guetter ces retrouvailles aussi.

7. Pas d’autre match captivant à ce moment.

On aime le football, on aime voir des matchs. Et ce samedi soir n’est pas vraiment fourni en très grosses affiches, à part peut-être le Lazio/Juventus qui sera très important en Serie A. Mais avec des équipes pas toujours passionnantes cette saison. Alors, tant qu’à regarder un match, autant mettre le PSG…non ?

6. Le masochisme ?

L’envie de voir ce match quand on a vu les derniers pourrait s’expliquer par le fait d’apprécier la douleur. On sait qu’il faut être prêt à stresser et souffrir quand on suit le PSG, mais on a franchi un palier dernièrement. Notamment parce qu’il n’y a même plus la surprise.

5. Il ne faudrait pas louper le réveil.

On s’attend à souffrir, à voir le PSG être encore loin du niveau attendu. Mais on ne sait jamais, les joueurs pourraient se réveiller et former une équipe de nouveau. Il y a eu de très bons matchs cette saison, il y a un potentiel de l’effectif. Peut-être qu’il faut être fou pour penser que cela pourrait arriver ce samedi. Mais si les Parisiens choisissent ce moment pour se réveiller, ce serait dommage de le rater. Rien n’empêche d’avoir un plan B s’il n’y a pas de surprise.

4. Le dernier match de Galtier ?

Le coach parisien serait dorénavant sur la sellette, ce qui est au moins crédible compte tenu des dernières semaines. Un mauvais match, ce qui est aussi  bien envisageable, pourrait signer le licenciement de Galtier. Ce serait dommage de manquer ce nouveau tournant dans le projet parisien.

3. Gharbi titulaire ? Des choix ?

Pour le moment, Galtier est toujours l’entraîneur du PSG. Alors il a des choix possibles pour son équipe de départ. Va-t-on voir quelque chose de marquant ? Un joueur décevant dernièrement sur le banc ? Une tactique marquée ? Ismaël Gharbi, milieu offensif de 18 ans et seul joueur offensif intéressant dimanche dernier, sur le terrain ? C’est peut-être qu’un rêve, mais il y a au moins la curiosité de voir l’entame vde match. Comme pour l’idée d’un éventuel réveil, un plan B peut être sage.

2. Khéphren Thuram, ça vaut le coût ?

On pense forcément déjà un peu à la reconstruction espérée pour la saison prochaine et Khéphren Thuram (milieu de 22 ans de Nice) fait partie des cibles évoquées ces derniers temps dans le viseur du PSG. C’est l’occasion de l’observer un peu pour estimer l’éventuel transfert. Même si un match ne fait pas un joueur.

1. La course au titre…et à l’Europe.

Le PSG n’a plus que 6 points d’avance sur les 2e et 3e (Lens et l’OM), et 9 sur le 4e (Monaco). Avec le niveau affiché dernièrement, le titre est loin d’être gagné et la qualification en Ligue des Champions absolument pas acquise. C’est un vrai enjeu. On bouderait un peu le titre, ce serait une terrible crise en son absence. Et une honte s’il n’y a pas la qualification en Ligue des Champions. Sans oublier que Nice, 8e, est aussi en course pour l’Europe.

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