Di Maria « Emery? J’ai eu un peu de mal au début, mais j’ai compris et ça me plaît »

Angel Di Maria, ailier de 28 ans du Paris Saint-Germain, s’est confié auprès du média espagnol Marca. Et il est notamment revenu sur l’arrivée de l’entraîneur Unai Emery l’été dernier, avec l’adaptation qui a été nécessaire et difficile, mais enfin réussie.

« Cela a été une des choses que j’ai eu du mal à comprendre au début. Ceux qui me connaissent savent que j’aime courir, aller un peu partout, un peu n’importe comment, et lui veut que chaque joueur occupe son espace et presse depuis sa position. J’ai eu un peu de mal au début, mais j’ai compris et ça me plaît.

Au début je jouais à un poste auquel je n’étais pas habitué, et j’ai eu un peu de mal. J’ai essayé, mais je n’y arrivais pas et peu à peu les choses ont changé. L’équipe a commencé à s’améliorer et moi aussi, et maintenant je me sens très bien et chaque jour de mieux en mieux.

Quand je joue à droite, je dois rentrer dans l’axe pour que le latéral puisse passer. Je dois me rapprocher des milieux pour combiner, arriver à la surface et, évidemment, quand nous perdons la balle, essayer de la récupérer. », propos relayés par L’Equipe.

Assez logiquement, le remplacement de l’entraîneur amène une période d’adaptation. Il faut un temps pour que l’équipe soit complètement dans la philosophie de l’entraîneur. Et chaque joueur ne met pas le même temps. Visiblement, Di Maria a eu du mal à bien comprendre ce qu’il devait faire au début. Mais c’est aussi le but de faire venir un nouveau coach, qu’il apporte des idées différentes.

Avec le temps et le travail, il semble aujourd’hui que l’Argentin ait bien intégré ce qui est demandé de lui. Mieux encore, il affirme aujourd’hui que cela lui « plait ». Et on peut le voir sur le terrain. Espérons donc que Di Maria continue sur sa bonne lancée de ses dernières semaines et que la première partie de saison ne restera qu’une période difficile due à l’adaptation.

On sent toute l’équipe monter en puissance, il ne faudrait pas un retour en arrière maintenant. Paris n’en n’a plus le temps.

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