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Le message touchant de Sergio Ramos sur ses difficultés et la Coupe du Monde

Sergio Ramos, défenseur de 36 ans, s’est exprimé longuement sur les réseaux sociaux. Il a fait état de son bien-être après une première saison difficile avec le Paris Saint-Germain. Il a également commenté, non sans-tristesse, sa non-convocation pour la Coupe du Monde, qui restera comme un regret. Mais il assure de sa motivation sans faille, comme il l’a démontré durant toute sa carrière.

Ramos « Je me sens de nouveau moi-même et que je profite de nouveau du football »

« La saison dernière a été difficile à cause des blessures et de l’adaptation à un nouveau club et à une nouvelle ville. J’ai travaillé corps et âme pour récupérer et me sentir à nouveau comme toujours, guidé par les objectifs et les illusions que l’on se fixe tous les jours. Heureusement, je peux dire que cette saison, je me sens de nouveau moi-même et que je profite de nouveau du football, de mon club et d’une grande ville comme Paris.

Ramos « Malheureusement, je vais devoir la voir de chez moi »

La Coupe du Monde ?

Bien sûr, c’était un de ces grands rêves que j’avais à réaliser. Cela aurait été ma cinquième, mais malheureusement, je vais devoir la voir de chez moi. C’est dur, mais le soleil se lève tous les jours. Ça ne changera absolument rien en moi. Ni ma mentalité, ni ma passion, ni ma constance, ni l’effort et le dévouement de penser au football 24 h / 24. C’est mon sentiment et je voulais le partager avec vous. Merci à tous pour votre amour, beaucoup de défis et d’objectifs restent à relever. À bientôt. Je vous souhaite le meilleur. Allez l’Espagne ! SR4. »

On dit qu’on ne fait pas de cadeau à un joueur en le convoquant juste pour ce qu’il a été, mais Sergio Ramos n’est pas encore un joueur du passé. Son fighting spirit, son leadership aurait fait du bien à l’équipe nationale d’Espagne. Mais Luis Enrique veut préparer l’avenir, on le comprend, mais pour ce grand joueur qu’est Ramos, titulaire dans une des meilleures équipes d’Europe, c’est assurément un regret évident.

Il sait qu’il ne rejouera plus avec l’Espagne, qu’il a fait son temps. Désormais, c’est acté. Mais attention au champion meurtri, l’année dernière, tout le monde l’enterrait aujourd’hui, il rejoue et possède même l’un des plus grands temps de jeu des joueurs du PSG. Comme quoi, il ne faut jamais insulter l’avenir et encore moins l’abnégation d’un joueur de la trempe de de « Cuqui » (surnom qu’il avait du temps du Real Madrid, qui se rapporte à quelqu’un qui peut être très dur et parfois très tendre…)

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