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Soler se confie : débuts dans le football, ses postes et son arrivée au PSG

Carlos Soler, milieu de 26 ans arrivé au Paris Saint-Germain l’été dernier en provenance de Valence, s’est confié au micro de Free Ligue 1. L’occasion pour l’Espagnol de revenir sur ses débuts dans le football, l’évolution de son poste et son arrivée à Paris.

Soler « il m’a dit que s’il m’achète la Game Boy que je voulais, alors que je devais m’inscrire dans une équipe. »

Tes débuts dans le football ?

C’est mon grand-père, Rafael Barragan, qui m’a fait commencer le football. Il avait vu que je jouais bien, que je frappais bien le ballon. Et il m’a dit que s’il m’achète la Game Boy que je voulais, alors que je devais m’inscrire dans une équipe, celle où jouait mon frère, à Bonrepos dans un village à côté de Valence. Et moi j’ai commencé à ce moment-là quand j’avais 5 ans. J’y suis resté 2 ans, et après Valence m’a recruté. Et j’y suis resté 18 ans.

Tu as commencé en numéro 9 avec 100 buts sur ta première saison ? Et au fil des saisons tu es descendu…

Oui, j’ai évolué comme ça. De mes 7 à 11, 12 ans, j’étais numéro 9. Après jusqu’en U19 j’ai joué en numéro 8, un poste où tu es plus dans l’organisation, et là ils m’ont aussi fait jouer 6. J’étais celui qui organisait le jeu. Et après je suis passé de nouveau à un poste intermédiaire, entre 8 et 10. Je pense que c’est ce qui m’a donné cette polyvalence pour jouer aux différentes postes quand on me le demande.

Soler « il y a eu l’appel de Paris, qui voulait parier sur moi. »

Que dirais-tu à toi petit ?

Jouer dans l’un des meilleurs clubs du monde, jouer avec certains des meilleurs joueurs au monde, m’entraîner tous les jours avec eux, prendre part à tout ça…Je pense que jamais je n’y aurais cru. Et c’est vrai que tu n’as pas trop le temps pour te poser, et tu réalises tout ça une fois que tu prends ta retraire.

Comment a réagi ta famille quand tu as parlé de ton départ ? 

Ils ont été super respectueux, dans le sens où ils m’ont laissé libre de mon choix, évidemment, et de choix ce qui me rendait le plus heureux à ce moment-là. Et il y a eu l’appel de Paris, qui voulait parier sur moi. J’en ai donc parlé avec mes parents, ils m’ont dit « fonce », que si ça devait se faire et que c’est ce qui me rendait heureux, il fallait que je le fasse.

Toute l’interview est ici :

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