Vitinha, Neves : Campos revendique une vision PSG

par
Arthur
le 29 décembre 2025 à 21:06

Dans un entretien accordé à O Jogo, Luis Campos, conseiller sportif du Paris Saint-Germain, a livré une réflexion limpide sur Vitinha (25 ans, milieu, PSG) et João Neves (21 ans, milieu, PSG). Pour le dirigeant portugais, la nationalité n’est qu’un détail : seule compte la capacité à servir les objectifs du PSG.

📢🔴🔵 Luis Campos a OJogo :

« Vitinha et Neves ? Oui, bien sûr, je suis fier. De ce point de vue, je ne peux pas les considérer comme étant portugais, ce n’est pas parce que nous avons quatre joueurs portugais au PSG… »

« Ils le sont tous les quatre parce que ce sont des… pic.twitter.com/yxrwFe67fP

— ParisSG INFOS (@Paris_sginfos) December 29, 2025

« Luis Campos a OJogo : « Vitinha et Neves ? Oui, bien sûr, je suis fier. De ce point de vue, je ne peux pas les considérer comme étant portugais, ce n’est pas parce que nous avons quatre joueurs portugais au PSG… » « Ils le sont tous les quatre parce que ce sont des joueurs de grande qualité qui apportent une plus-value à notre jeu. Ils pourraient venir d’autres pays. À cet égard, je dois tenir compte des objectifs du PSG. » « Au Portugal, il y a beaucoup de bons joueurs, et il y a toujours beaucoup de jeunes talents prometteurs. Vous ne pouvez pas imaginer ma fierté aujourd’hui en voyant le président de notre fédération recevoir le trophée pour le Portugal. » »

Avec ces mots, Luis Campos pose une pierre angulaire du projet parisien : le PSG ne recrute pas des passeports, mais des profils capables d’élever le niveau collectif. En citant Vitinha (25 ans) et João Neves (21 ans), il rappelle que leur présence à Paris ne relève pas d’un biais national, mais d’une exigence sportive. Les deux milieux incarnent une même idée du jeu : intelligence, volume, maîtrise technique et capacité à s’intégrer dans un cadre tactique exigeant.

Campos assume une vision froide, presque clinique : peu importe l’origine, seul compte l’impact sur le terrain et la cohérence avec les ambitions du club. Cette logique n’efface pas sa fierté de voir le football portugais briller, mais elle la relègue au second plan. Au PSG, l’émotion nationale s’arrête là où commence la responsabilité du projet. Une ligne claire, assumée, et surtout cohérente avec le virage structurel pris par Paris ces dernières saisons.