OM/PSG – Luis Enrique évoque le contenu, Dembélé, et Mbappé

par
Arthur
le 31 mars 2024 à 23:05

Le Paris Saint-Germain s’est imposé 0-2 face à l’Olympique de Marseille (résumé vidéo OM/PSG) ce dimanche au Stade Vélodrome dans le cadre de la 27e journée de Ligue 1 2023-2024. Après ce match, l’entraîneur parisien Luis Enrique (53 ans) s’est exprimé au micro d‘Amazon Prime. Il a évoqué le succès difficile, son choix de mettre Ousmane Dembélé (attaquant de 26 ans) dans l’axe et la sortie de Kylian Mbappé (attaquant de 25 ans).

Luis Enrique « Ça montre que l’équipe va être plus forte qu’avant. »

C’est une belle victoire ce soir vous avez dû jouer contre une belle équipe, contre la pluie et contre l’arbitre parfois ?

Jouer au foot sous la pluie c’est toujours un plaisir. Tout va plus vite que d’habitude, c’est pas un problème. Si je devais analyser le match, la première période, ce n’était pas assez bon, on a fait beaucoup d’erreurs. On leur a laissé des occasions. On a perdu beaucoup de ballons, c’était un problème pour nous.

Et le match a changé avec l’expulsion de Beraldo, on devait faire les choses différemment. C’est une bonne manière de gagner un match en se battant, avec un autre style. Ça montre que l’équipe va être plus forte qu’avant, c’est bien pour nous, de jouer comme ça et de montrer qu’on gagne un Classique.

Luis Enrique « On a essayé de jouer par rapport aux difficultés de l’adversaire. »

Un mot sur l’atmosphère du stade ?

On en a entendu beaucoup des atmosphères, ici c’est très sympathique. C’est bien pour tous les joueurs de jouer dans cet environnement. C’est bien.

Pourquoi vous avez utilisé Dembélé comme un numéro 10 ce soir ?

On a essayé de jouer par rapport aux difficultés de l’adversaire, trouver de l’espace. Mais on a fait trop d’erreurs, je dois le dire cela fait partie du foot. On doit l’accepter et progresser.

Luis Enrique « Parfois, je me trompe, mais c’est moi le chef. »

Mbappé avait l’air déçu ?

Chaque semaine, chaque semaine on dit la même chose c’est fatiguant. Je suis l’entraîneur, je prends les décisions tous les jours, toutes les semaines. Jusqu’à mon dernier jour à Paris ce sera comme ça. J’essaie toujours de trouver la meilleure solution pour mon équipe. Parfois, je me trompe, mais c’est moi le chef.

On disait qu’on comprenait votre décision.

Que vous compreniez ou pas je n’en ai rien à faire (rires).

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