Augustin "je peux m’imposer et pour ça, il faut tout le temps travailler...je n'ai pas envie d'être prêté"

Mercato

Blanc ouvre un peu la forme à un prêt d’Augustin et encourage celui d’Ongenda

par
Emjeïs
le 18 janvier 2016 à 22:12

Présent en conférence de presse cet après-midi, Laurent Blanc, l’entraîneur du Paris Saint-Germain. Il en a profité pour faire un point sur le mercato et a notamment évoqué les cas de Jean-Kevin Augustin (attaquant, 18 ans) et Hervin Ongenda (milieu de terrain, 20 ans).

Concernant Augustin il a tenu les propos suivants :

« C’est un joueur qu’on a considéré dès la saison dernière. Il a progressé avec les pros en jouant avec la CFA. Il a intégré le groupe pro. La position est délicate parce qu’il y a beaucoup d’offensifs au PSG. Il y a de la concurrence avec des tops joueurs. Il faut profiter de ce qu’on vous propose et progresser. S’il n’y a pas de mouvement dans ce domaine, s’il a une offre, on peut l’étudier. »

Clairement si Lavezzi ou Lucas restent, le club sera disposé à entendre parler d’un départ, plutôt un prêt car Blanc apprécie les qualités d’Augustin. Celui-ci a à faire avec une forte concurrence à son poste au Paris Saint-Germain, un prêt dans un club apte à lui offrir un temps de jeu conséquent serait bénéfique pour sa progression.

Quant à Hervin Ongenda « La position n’a pas changé. Elle restera la même jusqu’au 2 février. A eux de faire le job avec leurs agents. »

La position du club n’a donc pas changé, les dirigeants sont ouverts au dialogue concernant leurs deux jeunes, là où pour Adrien Rabiot la porte est clairement fermée. Logique tant Augustin et Ongenda se doivent de parfaire leur apprentissage afin de pouvoir prétendre à un temps de jeu supérieur dans la capitale pendant que Rabiot a prouvé qu’il est capable de jouer en Ligue des Champions.

Même si Blanc peut faire tourner l’effectif, il doit faire jouer ses meilleurs éléments pour les garder en forme, ce qui ne laisse pas toujours beaucoup de place.

Mais les blessures qui s’enchaînent peuvent pousser à la prudence, surtout que ces joueurs se sont montrés capables de jouer avec Paris sur la scène nationale.

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