Bulka s’est excusé auprès du PSG après son interview dans un média polonais, selon France Football

par
NicolasB
le 2 mars 2020 à 21:30

La semaine dernière, Marcin Bulka, gardien de 20 ans arrivé au Paris Saint-Germain l’été dernier en provenance de Chelsea, s’est fait remarquer avec une interview accordée à Foot Truck. Auprès du média de son pays natal, le Polonais a notamment évoqué la haine d’Angel Di Maria (ailier de 32 ans) pour Manchester United, a donné quelques confidences sur des coéquipiers et a annoncé qu’il rejouera cette saison. Des réponses peu appréciées au sein du club d’après France Football et le portier se serait excusé. (du moins, il semble bien que le média sportif parle de cette interview, car il ne précise pas le nom du média)

« Des éclaircissements acceptés sans problème par le groupe qui a vite clos cet épiphénomène »

« Le portier arrivé cet été en provenance de Chelsea n’a eu aucun mal à expliquer à la direction du PSG, forcément étonnée et énervée de prime abord, qu’il s’était fait piéger et que ses propos avaient été exagérément déformés pour verser dans le sensationnalisme, une explication acceptée d’autant plus facilement par les dirigeants que Bulka, ennuyé, avait auparavant pris la précaution d’envoyer des messages aux joueurs concernés pour leur expliquer la situation et s’assurer que sa bonne foi n’était pas mise en cause. Des éclaircissements acceptés sans problème par le groupe qui a vite clos cet épiphénomène au cœur de la période tendue que connaît le club parisien. »

Des affirmations qui n’ont rien d’impossibles, puisque Bulka s’est un peu « lâché » dans cette interview. Peut-être que certains auraient préféré que le gardien polonais soit un peu plus discret. Et il n’y a rien de grave d’après le média, ce qui semble assez logique. On ne peut pas dire que le jeune portier ait lâché des phases choquantes ou qui manquent vraiment de respect à ses coéquipiers. Mais si le média dit vrai, il a au moins su bien réagir. Et ses coéquipiers ne lui en veulent pas. Alors le groupe peut continuer à bien vivre. Et on répète encore que l’on peut se méfier de l’affirmation du média sur l’importance du « problème » créé.

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