PSG/Paris FC – Paulo César « il faut regarder devant »

Ce dimanche, les équipes féminines du Paris Saint-Germain et du Paris FC vont s’affronter au Parc des Princes (diffusion sur Canal+ et CStar) à 21h en demi-finale du playoff de la Première Ligue Arkéma 2024-2025. Une rencontre évoquée par le coach parisien Paulo César au micro de PSG TV.

César « ne pas regretter le passé. »

Rebondir après la défaite en Coupe de France

« C’est normal que les filles soient déçues après la défaite en Coupe de France, mais il faut vite réagir pour préparer l’échéance à venir. On évolue au très haut niveau, cela nous permet de ne pas de regretter le passé. Il faut regarder devant pour que les choses se passent bien. »

L’équipe du Paris FC

« Je trouve que le Paris FC fait un très bon travail depuis longtemps, j’ai vu beaucoup de leurs joueuses grandir. Je me focalise sur ce que le Paris Saint-Germain est capable de faire, sur le talent et les qualités de mes joueuses. On va jouer ce match comme une finale. »

La philosophie de jeu

« Je pense que c’est le collectif qui compte le plus aujourd’hui. Je vais essayer de montrer mes idées, de faire participer les joueuses, d’avoir un objectif commun. »

La défaite en finale Coupe de France face au Paris FC dimanche dernier peut encore peser dans les esprits et Paulo César veut assez logiquement éviter de s’y attarder. Surtout qu’il n’était pas encore le coach de cette équipe. Il a remplacé Fabrice Abriel le lendemain, alors qu’il s’occupait jusque-là des U19.

C’est une nouvelle aventure pour l’ancien défenseur du PSG et il aimerait logiquement la commencer par une victoire importante. Il y a de quoi y croire avec les qualités de son effectif. Mais il n’y aura rien de facile contre une belle équipe, surtout aussi peu de temps après son arrivée.

L’essentiel sera d’afficher un beau visage, avec peut-être un peu de renouveau dans le jeu alors que le PSG manquait souvent de tranchant et de régularité. L’idée d’un changement d’entraîneur à ce moment est aussi de préparer la saison prochaine.