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L’Argentine fait du surplace, la solution de Lavezzi: la grinta et le sens du sacrifice

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L’Argentine fait du surplace, la solution de Lavezzi: la grinta et le sens du sacrifice

L’Argentine, qui évolue avec 3 joueurs du Paris Saint-Germain: Ezequiel Lavezzi, Angel Di Maria et Javier Pastore, a vécu une soirée cauchemardesque, pour son premier match des éliminatoires de la coupe du monde 2018, en chutant à domicile contre l’Equateur (0-2).

Dans ce match Lavezzi a remplacé Pastore en deuxième période, mais il n’a pas réussi à inverser le cours du jeu, à sens unique pour une excellente équipe Equatorienne.

Lors de la 2ème journée des éliminatoires de la zone AmSud, l’Argentine s’est déplacée mardi à Asuncion pour affronter le Paraguay.

Mais ce soir là aussi, côté argentin, ce n’est toujours pas la folie. Toujours privés de Messi et désormais de Agüero, les vice-champions du monde n’ont pas fait mieux que match nul avec le Paraguay (0-0). L’Argentine n’a toujours pas inscrit le moindre but après deux rencontres disputées. A noter que les trois Parisiens Di Maria, Pastore et Lavezzi étaient sur le terrain au coup d’envoi.

Avec un point en deux rencontres, l’Argentine fait du surplace en débutant de la plus mauvaise manière sa campagne de qualification pour la Coupe du Monde 2018.

Interrogé sur cette déconvenue de l’Albiceleste, Ezequiel Lavezzi précise qu’il est encore possible de s’en sortir dès la 3ème journée des éliminatoires de la zone Amsud, en recevant le Brésil début novembre.

« Avec des joueurs de notre qualité, nous serions très médiocres de penser que nous ne pouvons pas énormément nous améliorer. Nous avons été très touchés contre l’Equateur et nous n’avons pas pu sortir d’une partie compliquée contre le Paraguay. Mais nous pouvons régler tout ça, nous avons besoin de faire plus. Nous voulons démontrer autre chose, essayer d’inverser cette situation. Nous pouvons nous en sortir avec la grinta, le sacrifice et une attitude positive. C’est ce qui nous a manqué contre l’Equateur ».

Le cocktail de la grinta et du sens du sacrifice suffira-t-il contre le Brésil, lui aussi en mal de points ? C’est début novembre qu’on le saura avec certitude.

En tout cas, c’est avec ces éléments que Pocho garde une place importe à Paris, même dans les matchs où sa technique peut décevoir un peu.

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