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Draxler veut "jouer plus de matchs" et garde le suspense sur son avenir
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Draxler se confie : le PSG, son humour, Kimpembe, la Coupe du Monde et la LDC

Julian Draxler, milieu offensif de 20 ans arrivé au Paris Saint-Germain en 2017 et sous contrat jusqu’en 2024, s’est confié au micro de PSG TV dans la rubrique Break Time. L’international allemand a évoqué son arrivée à Paris, son amour pour le club, son humour particulier, Presnel Kimpembe (défenseur central de 26 ans), la Coupe du Monde remportée en 2014, la Ligue des Champions, son amour pour la purée de piments, sa famille et l’UNICEF.

Draxler « J’aime la ville, j’aime le club, je me sens très bien aujourd’hui. »

La préparation avec mon premier match de l’année ?

C’était contre Augsbourg, même si c’est juste un match cela fait toujours plaisir. Ce n’est pas mal (rires). Cela fait plaisir de voir de belles situations, des buts et des passes décisives.

Si je devais raconter mes années au PSG ?

C’est un plaisir de jouer pour ce club. Depuis que je suis arrivé, je me sens très bien ici. J’aime la ville, j’aime le club, je me sens très bien aujourd’hui. Côté sportif, il y a des hauts et des bas. On connaît tous ça, les joueurs. L’année a très bien commencé, j’ai été décisif.

Je suis le plus drôle du vestiaire mais là je ne souris pas ?

C’est l’image que je donne de moi, parce que je suis Allemand. On a une réputation de ne pas trop rigoler, d’être sérieux, de travailler. Mon visage change devant la caméra.

Draxler « C’est rare dans le football, mais j’ai trouvé quelqu’un comme ça. »

Quelles sont mes blagues ?

Je cherche un peu les joueurs, je fais semblant que je pose une question sérieuse, mais c’est pour énerver un peu. Cela peut être intéressant d’avoir la conversation avec moi, j’aime bien énerver un peu les gens. Je ne sais pas pourquoi. Les joueurs à qui je m’adresse ne trouvent pas toujours ça drôle. C’est aussi un peu privé (rires). J’aime aussi rire avec les jeunes, ils ne me connaissent pas encore trop et ils sont choqués (rires).

Kimpembe représente quoi pour moi ?

Kim, c’est quelqu’un qui m’a très bien accueilli à Paris. On était très proche, on se comprend très bien. Cela me fait tellement plaisir de voir son évolution dans l’équipe. Quand je suis arrivé, il jouait peu. C’est un joueur de très haut niveau. Cela compte encore plus pour moi, car il est super gentil, super drôle. Je sais que si j’ai un problème, je peux l’appeler. C’est rare dans le football, mais j’ai trouvé quelqu’un comme ça.

S’il m’a montré Paris ?

Au début, non, il m’a aidé plus dans le club. Je suis sorti plutôt avec Blaise Matuidi. Mais Kim, je peux toujours l’appeler et il est toujours là pour moi. Et c’est réciproque. C’est une histoire d’amour.

Draxler  » J’ai encore des frissons quand j’en parle aujourd’hui. »

La Coupe du Monde remportée en 2014 ?

C’est un titre unique, tout le monde rêve de gagner ce trophée. J’ai eu la chance d’être dans l’équipe qui a pu la gagner. Je n’ai pas qu’une photo de moi avec ce trophée, je suis très fier. En plus, c’était au Brésil, c’était spécial. C’était ma première fois là-bas. Le football a une grande importance dans ce pays et c’est la première fois qu’un pays européen gagne ce trophée là-bas. J’ai encore des frissons quand j’en parle aujourd’hui.

Un rêve aussi de remporter la Ligue des Champions ? C’est au même niveau ?

C’est vraiment très spécial, surtout à Paris car tout le club en rêve. On a des joueurs qui l’ont gagnée, mais moi malheureusement non. On a été très proche. On a l’équipe aujourd’hui, on a la qualité pour gagner la Ligue des Champions. On travaille tous les jours dur pour avoir l’opportunité de jouer une autre finale. C’est sûr que ça ferait tellement plaisir d’avoir la Ligue des Champions à côté de la Ligue des Champions.

La purée de piment ?

C’est ma femme qui a ramené ça à la maison, au début je ne comprenais pas qu’on mange cela. Je n’ai pas l’habitude en tant qu’Allemand. Mais à partir de 5, 6 fois, j’ai commencé à aimer. Maintenant, j’en ajoute à presque tous les repas car ça ajoute un extra-goût (rires). Un repas sans ça, c’est juste 50%.

Draxler « Je suis très fier d’être ambassadeur. »

Je mange toujours des céréales ?

Oui, même si je suis un peu en retard je sors ça pour manger dans la voiture comme ça je ne sors pas avec le ventre vide. Je n’aime pas cela (rires). Après, il y a 2e petit-déjeuner au club donc ça va (rires). Par contre, j’ai la maladie de laisser la boîte même quand elle est vide à la maison, alors je prends des reproches (rires).

Mon bracelet ?

C’est un cadeau de ma famille, mon premier bracelet quand j’étais bébé et comme j’aime beaucoup ma famille je l’ai encore ici pour penser à ceux qui sont loin et que je ne vois pas tous les joueurs. Ce sont des petits trucs que j’ai à la maison.

Mon action à l’UNICEF ?

Ce sont des voyages que je fais avec l’UNICEF, il y a eu la Jordanie, j’étais là pour aider un peu, donner des sourires. Je suis très fier d’être ambassadeur. Il y a des familles là-bas que je suis, à qui je demande si elles ont besoin de quelque chose pour améliorer leurs conditions de vie. Je pense beaucoup à ça. Je voyage aussi avec mon frère pour faire de bonnes choses.

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